Matraquage publicitaire, Coca-Cola, agences de publicité, publicité informative, publicité répétitive, publicité suggestive, consommation, acte social, produits dérivés, objets publicitaires, affiches, cinéma
TPE de l'année scolaire 2006/2007, portant sur la publicité. Le thème principal en est le matraquage publicitaire, appliqué à la très célèbre marque de boissons gazeuses et autres produits, The Coca-Cola company.
[...] A la fin des années 30, le message se transforme en : Coca-Cola, la pause qui rafraîchit Depuis le début de son histoire, Coca-Cola a passé commande aux plus grands illustrateurs américains afin de transmettre par l'image les qualités de son soft-drink. Leur talent s'est traduit par de réelles oeuvres d'art. Le travail de Haddon Sundblom en est un exemple. L'image du père Noël qu'il a recréé pour Coca-Cola a marqué des générations d'enfants et est passée dans le domaine public. De plus, des vedettes vantent les méritent de la marque. Même les acteurs apprécient les pauses rafraîchissantes. Cary Grant, Claudette Colbert, Loretta Young, Jean Harlow, Robert Montgomery ont célébré les mérites de Coca-Cola. [...]
[...] Son chapeau aux couleurs Américaines est remplacé le plus souvent par une capsule ou par un petit chapeau de serveur, comportant le nom est les couleurs de la marque. Avec le temps, Coca-Cola commence à vouloir montrer, par l'intermédiaire de ses affiches, que boire son produit, permet de passer de bons moments. Des moments en famille, ou entre amis. Son nouveau titre devient alors : ‘‘Pause''. Ces affiches mettent le plus souvent en avant un couple ou des amis, autour d'un verre de Coca-Cola. De plus sur chacune de ses affiches, la marque continue de faire passer le même message : Coca-Cola est un signe de bon goût. [...]
[...] Les dirigeants de Coca- Cola l'ont bien compris. C'est d'ailleurs pour cela qu'ils n'hésitent pas à sponsoriser des évènements mondiaux tels que les Jeux Olympiques (petite anecdote : lors des Jeux Olympique d'Athènes, il n'était pas autorisé de boire autre chose que des produits de The Coca-Cola Company, à moins d'enlever l'étiquette de sa bouteille), ou la Coupe du Monde de la FIFA. Mais, contre cet incessant ‘‘bourrage de crâne'' de la part de ces entreprises, en France et dans le monde, certains groupes s'engagent dans des actions visant à réduire l'incitation abusive à la consommation. [...]
[...] La marque doit être omniprésente. Le message Coca-Cola désaltère est bientôt visible partout : premiers panneaux d'affichage, journaux, au dos des romans populaires, magazines . En 1906 la compagnie dépense dollars en publicité million en 1912 et le double à l'aube des années vingt. Sur ces publicités, les images de l'homme et de la femme idéaux font rêver les futurs consommateurs. Jeunes, beaux, élégants, the Coca-Cola girl and boy définissent un certain art de vivre. Le Coca en bouteille est une idée de Joseph A Biedenham de Vichsburd. [...]
[...] Cependant, il faut attendre la deuxième révolution industrielle pour voir apparaître de façon presque systématique une image sur l'affiche. C'est également lors de cette époque, que l'affichage devient un média de publicité. L'affichage comme média de publicité est publié dans la cité'' B. Cathelat) débute donc durant les années 30 d'une part sous forme d'affiches apposées à même les murs tout au début puis sur des panneaux (palissades) et d'autre part sous forme de publicités peintes (Murs peints) directement sur les murs "pignons"* avant de devenir typiquement urbain ( en 1960) puis Rurbain (en 1980). [...]
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