Renault, difficultés économiques, difficultés sociales, compétitivité, internationalisation, stratégie croissance, actionnaires, distribution automobile, pollution automobile, développement durable
Il s'agit alors de savoir comment une entreprise telle que Renault a su surmonter les difficultés économiques et sociales au cours de son existence. Cette entreprise aujourd'hui âgée de 116 ans est désormais une firme de renommée mondiale. La question est donc comment en est elle arrivée la, alors que le monde économique ne cesse d'évoluer: il faut avoir la capacité de résister pour pouvoir survivre. D'autant plus que Renault est restée longtemps la première entreprise de France (privée ou publique).
Nous verrons ses évolutions au cours du temps, de sa création à aujourd'hui en passant par les difficultés qu'elle a dû surmonter et les moments de gloire, de croissance qu'elle a connue. Puis nous analyserons lors d'une seconde partie les différentes stratégies qu'elle a développées au cours de son existence, ainsi que les différents marchés auxquels elle s'est attaquée et les raisons, les motivations de ces attaques. En dernier lieu, nous verrons ce qu'est devenue cette entreprise aujourd'hui et les difficultés qu'elle connaît actuellement (...)
[...] En effet, elles peuvent être vues comme des marques de faiblesses mais aussi peuvent rendre plus fort. Ainsi, Renault a changé trois fois de statut, a su s'adapter au phénomène de massification durant la période dite des trente glorieuses, la firme a aussi su s'attaquer à de nouveaux marchés afin de développer ses capacités. Ceci a été particulièrement difficile lorsqu'elle a voulu s'implanter sur le marché américain. Les différentes personnalités qui se sont succédées à la tête de Renault, grâce a leurs différentes politiques, ont su hisser l'entreprise à un niveau mondial. [...]
[...] Comme l'a annoncé Dominique de Villepin jeudi 1er septembre, le coût de la carte grise sera "fonction du caractère polluant des véhicules" à compter du 1er janvier 2006. Le premier ministre a précisé que "pour des véhicules, cela représentera un doublement du montant de la carte grise", tandis que "pour les autres véhicules, cette mesure sera neutre". La réforme prévoyait donc de pénaliser davantage à partir du 1er janvier 2006 les véhicules neufs ou d'occasion les plus polluants, autrement dit ceux qui rejettent plus de 200 grammes de CO2 par kilomètre. Les voitures polluantes seront alors surtaxées de 2 à 4 euros supplémentaires. [...]
[...] Toujours en s'appuyant sur les implantations de Nissan, Renault a également engagé son développement dans les pays d'Amériques centrale, en équateur et au Pérou, mais aussi au Moyen-Orient et dans les pays du Golfe. Dans la région Asie-pacifique, le développement de Renault est engagé avec l'appui de Nissan au Japon, en Australie, à Taiwan et en indonésie. De même, l'acquisition puis le développement de Renault Samsung Motors en Corée du Sud s'appuient sur l'Alliance avec Nissan. Développer Dacia : Renault vise à disposer, à travers Dacia, d'une base de productions très intégrée localement et à faible coût, capable de produire à terme des véhicules adaptés aux attentes et aux ressources des clients des pays émergents. [...]
[...] Renault est la première marque d'utilitaires en Europe, un rang que l'entreprise occupe sans discontinuer depuis 1998. Les sites de Maubeuge et de Batilly ont battu des records de production, avec plus de 230000 véhicules pour le premier et près de 110000 pour le second. En 2004 Renault poursuit l'internalisation des véhicules utilitaires, avec le démarrage de la fabrication de Kangoo en Malaisie. Ventes par catégorie En volume, incluant Dacia et Renault Samsung Motors 1er semestre 2004 1er semestre 2005 Véhicules particuliers Véhicules Utilitaires Total Qualité, coûts et délais : L'Alliance soutient et alimente les efforts menés par l'ensemble du groupe. [...]
[...] Le public : Au 31 décembre 2004, la part du capital de Renault détenue par le public est de 62,2% (les actionnaires institutionnels français et étrangers détiennent respectivement environ 20% et 30% du capital, les actionnaires individuels détiennent environ du capital). A. NOUVELLE RÉFORME SUR LA DISTRIBUTION AUTOMOBILE La commission Européenne a souhaité renforcer la libéralisation du secteur automobile car elle considère les écarts de prix entre les différents pays de l'Union Européenne comme étant le signe d'une concurrence trop limitée dans ce secteur et la preuve que les constructeurs bénéficient d'un régime trop protecteur pour la vente des véhicules. [...]
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