Magasins populaires, secteur magasins populaires, performances, alimentation, bazar, articles textiles, condition de production, résultats, évolution du marché, consommateurs
Les magasins populaires regroupent les points de vente réalisant plus de 65% de leur chiffre d'affaires avec la vente de produits alimentaires et dont la superficie est comprise entre 400 et 2 500 m2 (selon la définition de DAFSA ETUDES).
Ce type de commerce est organisé autour de trois rayons destinés à l'alimentation (1 500 à 4 000 références), aux articles textile et au bazar (produits d'entretien, vaisselle, papeterie…).
Au total, un magasin populaire propose un assortiment de 7 000 à 10 000 références.
Enfin, on notera que 90% des établissements sont situés en centre-ville.
[...] Synergies Les synergies entre Prisunic et Monoprix sont nombres, nous allons en faire un récapitulatif sous forme de tableau avant de les détailler. I. Recherche de la taille critique Isolément, aucune des deux chaînes n'était en effet en mesure de supporter le choc de la concurrence. Comme nous l'avons vu dans la première partie, elles évoluent dans un secteur où l'intensité concurrentielle est très forte. Elles sont seules sur le marché des magasins populaires, mais la pression exercée par les supermarchés est très forte. Sur un secteur en forte concentration, le facteur taille est primordial, d'où la nécessité d'atteindre la taille critique. [...]
[...] Au point même que dans certains magasins, l'alimentaire a disparu. Il s'agit d'un facteur de complémentarité entre les deux enseignes, mais il pose le problème de savoir comment les deux stratégies vont se marier. VI. Un nouveau système d'information Il s'agit de la volonté des deux enseignes de définir une nouvelle architecture des systèmes d'information pour pouvoir communiquer davantage avec les fournisseurs par EDI, améliorer la connaissance des clients grâce aux informations de sortie de caisses qui permettent d'adapter la largeur de la gamme, le merchandising, etc. [...]
[...] Avec la livraison service plus instaurée dans une dizaine de magasins, il n'est plus nécessaire de passer à la caisse. Il suffit de confier son chariot et Monoprix s'occupe de tout. * Carte Cofinoga : Son chiffre d'affaires progresse de plus de en 2007. Cette facilité de règlement est un formidable outil de fidélisation qui permet d'accroître la fréquentation des magasins, notamment des clients principaux et secondaires. En 2007, pas moins de clients ont acheté à Monoprix avec la carte, soit 800 millions d'euros de chiffre d'affaires. [...]
[...] Les performances des magasins populaires ont surtout été décevantes dans les produits alimentaires, en dépit des efforts consentis dans le développement de marques de distributeurs. La nouvelle progression des GSA dans ce domaine, en termes de parts de marché n'y est pas étrangère. Le chiffre d'affaires provenant des produits de beauté, de la parfumerie et de la parapharmacie s'est apprécié de en 2005. Les deux grandes enseignes cherchent à tirer profit du dynamisme de ce segment. Dans cette optique, elles accordent une place de plus en plus importante à la parapharmacie. [...]
[...] La quasi- totalité des magasins populaires (95 se trouve donc maintenant entre les mains du Groupe Galeries Lafayette. Par ailleurs, le secteur se caractérise par une forte concentration géographique : les pointes de vente se situent, en effet, majoritairement à Paris et dans sa région, où se trouvaient, en des magasins. I.2 Un effort d'équipement important, mais en perte de vitesse : L'investissement du secteur a connu une spectaculaire progression en 2004 (son montant a été multiplié par portant sa part à du CA, contre seulement en 2003). [...]
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