Stratégies de croissance bancaire, Asie du Sud-Est, commerce extérieur, PIB par habitant, taux de scolarisation, exportations, consommation domestique, investissements étrangers, secteur bancaire, loi sur les faillites
La Thaïlande apparaît comme un pays de contrastes. Le royaume se trouve à mi-chemin dans sa route vers le statut de pays développé, comme le montrent ces quelques indicateurs économiques. Son PIB par habitant n'est encore qu'un dixième de celui de la France par exemple. Mais dans la région de Bangkok, il monte jusqu'à environs 5,000 US$ par habitant.
Le taux de scolarisation atteint 96% dans le primaire, mais chute dans le secondaire et a fortiori dans le supérieur, en raison du coût souvent prohibitif des études pour les familles, et du besoin dans lequel elles se trouvent parfois de voir participer les adolescents à la subsistance du foyer. Les aides étatiques à l'éducation sont encore embryonnaires, le gouvernement ayant d'autres priorités, comme le remboursement de sa dette extérieure ou la recherche de nouveaux bailleurs de fonds internationaux. Recherche ardue, car un rating défavorable dissuade les investisseurs conservateurs de prêter à la Thaïlande.
[...] Logiquement, il est ardu pour les banques de mobiliser l'épargne avec ces taux d'intérêt peu attractifs. En particulier, pour le monde rural, la Banque Agricole et du Développement Rural du Vietnam dispose d'un capital insuffisant pour répondre à toutes les demandes financières. De plus, la densité de son réseau reste encore insuffisante pour couvrir tous les besoins. Les procédures d'octroi des prêts sont longues et bureaucratiques (manque de standardisation ; formation ) à cause de la structure et des (non) procédures des banques Le développement de la microfinance au Vietnam Un des objectifs les plus importants du parti communiste du Vietnam (surtout après le Doi Moi Renouveau) a été d'effacer la famine et réduire la pauvreté. [...]
[...] L'une peut avoir un bilan très sain et l'autre un très faible niveau de solvabilité et de liquidité La microfinance au Cambodge Un très grand nombre d'ONGs occupent actuellement le terrain et s'emploient à développer des activités de microfinance (environ 80 ONGs à l'heure actuelle et à différents niveaux). En 1995, le gouvernement cambodgien a établi le comité de crédit pour le développement rural dans l'objectif de coordonner les activités dispersées des ONGs. Il prévoit que la Banque Agricole soit considérée comme le fournisseur principal de crédit en fournissant les capitaux, dont l'utilisation serait gérée par le système des ONGs. [...]
[...] Les taux de recouvrement des créances des institutions de microfinance soutenant la comparaison avec ceux des banques classiques, ces dernières investissent progressivement le terrain. De nombreuses contraintes internes jouet contre l'entrée en microfinance des banques traditionnelles. L'engagement de l'institution dans bien des cas, l'entrée sur ce marché dépend plutôt de la décision d'une poignée d'administrateurs audacieux que du mandat qui a pu être confié à l'institution. La structure organisationnelle n'est pas adaptée au traitement de gros volumes de petits prêts. [...]
[...] Cette tutelle a été renforcée depuis la crise, de même que le pouvoir de la BOT sur les institutions financières. En fait, la preeminence de cet organisme conduit a beaucoup plus de faveurs accordées aux banques publiques : celles-ci seront débarrassées de leur créances douteuses avant les banques privées, ce qui va leur permettre de se sortir de la crise plus vite et ainsi de prêter a des taux plus bas que ceux proposes par les banques privées On risque donc même de voir des clients ayant des emprunts chez les banques privées reprendre un emprunt chez les banques publiques a un taux inférieur pour rembourser le premier. [...]
[...] Cela a créé un impact sur les partenaires commerciaux de Thaïlande qui ensuite va restreindre la croissance économique et les exportations du pays. Le ralentissement de l'économie thaïe En dehors de cela, depuis juillet de l'an 2001, l'instabilité politique et la croissance continuelle du prix de l'essence en Thaïlande découragent en plus l'investissement privé et la consommation qui est le vrai souci pour le secteur bancaire en Thaïlande et aussi dans d'autre pays asiatique. b. Les chalenges des banques internationales International Competition En vue d'améliorer la situation après la crise, le gouvernement pour promouvoir la compétition et l'efficience des institutions financières a permis 100 pour cent investissement étranger dans le secteur bancaire pour une période de 10 ans. [...]
Référence bibliographique
Source fiable, format APALecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture