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Ce dossier a pour but de présenter au lecteur une vision étendue et pratique des possibilités d'affaires en Argentine pour toute entreprise Québécoise. Nous nous sommes attachés à présenter ces possibilités de manières neutres tout en balayant l'éventail des secteurs le plus large possible.
Notre travail se divise en trois parties. D'une part, nous présenterons les caractéristiques majeures de ce pays, caractéristiques aussi bien économiques, historiques que sociales et indispensables à prendre en compte avant de s'aventurer sur ce marché.
Ensuite, nous présenterons les secteurs clés et les opportunités existantes en Argentine, d'une manière générale afin de bien intégrer sur quoi se base le renouveau de ce pays et axer notre réflexion sur ces secteurs en particuliers.
Enfin, nous discuterons pour finir des facteurs clés de succès, autrement dit l'explication des moyens pratiques à mettre en oeuvre pour développer sereinement une activité dans les secteurs porteurs précédemment définis.
Nous allons ainsi voir à travers l'histoire, l'économie et les traditions de ce pays en quoi l'Argentine possède de nombreuses possibilités d'investissements dans des secteurs bien ciblés. Il apparaît en effet que la crise financière traversée ces dernières années permet aujourd'hui de faire ressortir des opportunités intéressantes dans un pays à nouveau en plein boom économique.
Nous avons fait le choix de ne cibler que les secteurs qui nous apparaissaient comme les plus porteurs et les plus susceptibles d'intéresser des entreprises québécoises (...)
[...] L'agriculture est au cœur du processus de développement économique et de l'aménagement du territoire. Néanmoins, Il faut noter que vu plusieurs raisons, le secteur agricole argentin favorisent l'essor ou la relance de certaines productions[36], que les potentiels investisseurs québécois doivent connaitre afin de bien cibler la catégorie de production. Compte tenu de l'importance du secteur agricole de l'Argentine, la concurrence la plus vive du Canada dans le secteur des aliments et des boissons vient probablement de l'offre intérieure, dans la mesure où les producteurs locaux fournissent la vaste majorité des produits alimentaires achetés en Argentine. [...]
[...] En 2007, d'après l'ACARA (Association des concessionnaires automobiles) automobiles ont été vendues. Cependant, le marché de l'automobile se concentre de plus en plus. En 2007, environ 60% de la production totale argentine a été réalisée par PSA Peugeot Citroën, General Motors et Ford. Cette tendance va augmenter en 2008. En 2005, le secteur de la construction a augmenté de 14,6% et représente 60% de l'investissement public. L'Etat a pour projet la construction de routes, d'infrastructures pétrolières et de logements et ce, avec des entreprises privées[14]. [...]
[...] Les investisseurs québécois ont donc intérêt à prendre le temps nécessaire pour créer un réseau de contacts. Généralement, les rencontres d'affaires sont souvent informelles se déroulent dans une ambiance détendue et amicale. Il ne faut pas s'étonner si les discussions commencent par des thèmes plus ou moins intéressants tels que l'équipe nationale du soccer ou la visite de N. Sarkozy au Québec ou encore des sujets concernant la famille Avez-vous dit conflits ? Tout comme les québécois, les argentins ont le goût de bien mener les discussions et d'argumenter davantage. [...]
[...] Cependant, ce dernier n'est désormais plus sa ressource principale. Il a été remplacé par le soja produit dans la région très fertile de la Pampa. Ceci a permis à l'Argentine de devenir le troisième producteur de soja (derrière le Brésil et les Etats-Unis) et le premier exportateur au monde. Cette production étant cultivée sur des terres autrefois utilisées pour l'élevage bovin, diminue les petites et moyennes exploitations. C'est pourquoi l'Argentine encoure des risques majeurs tels que l'épuisement des éléments nutritifs du sol, la déforestation et la diminution des variétés de ses cultures[9]. [...]
[...] Et finalement, il est primordial de faire recours à un responsable du projet. Notre position ne nous permet pas d'avancer des outils pratiques pour le choix de la forme d'internationalisation pour les entreprises québécoises qui veulent investir en Argentin, en effet, vu la diversité et la spécificité de chaque secteur. Il est nécessaire de faire recours à un chargé de projet, il s'agit d'un conseiller en co-entreprise, spécialisé dans le secteur d'activité où l'entreprise veut opérer et qui aura comme mandat de conseiller l'entreprise dans la réalisation de l'opération de co- entreprise, ce dernier devrait suivre de près l'actualité financière afin de détecter des affaires alléchantes. [...]
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