Management du changement, TPE, étude de cas, agence Mariette Landon, marché des agences de communication, relations publiques, événementiel, secteur oligopolistique, fidélisation des clients, management, organisation, positionnement stratégique
Le marché des agences de communication, relations publiques et événementielles est très dynamique et concurrentiel. Le nombre d'agences en 2007 est évalué à plus de 700, allant de la PME à la société internationale. Nous pouvons identifier trois catégories d'agences : les petites, avec un chiffre d'affaires inférieur à 3 millions d'euros, représentant 43% des agences, celles de taille moyenne avec un chiffre d'affaires inférieur à 12 millions, d'euros représentant 37% du marché et les grandes agences avec plus de 12 millions d'euros de CA.
Le secteur de la communication est un secteur oligopolistique qui est tiré par un groupe d'une vingtaine de sociétés comme Publicis ou TBWA. Ces entreprises représentent 75% du chiffre d'affaires et 43% du résultat total. Ce club de sociétés se partage l'essentiel des contrats. Aujourd'hui, les clients recherchent une plus grande proximité avec leurs agences. En effet, ils pensent avoir des relations plus privilégiées avec celles-ci. Les agences indépendantes tirent ainsi partie de ce constat. Le chiffre d'affaires 2007 des agences de communication représente 2 230 milliards d'euros soit une augmentation de 13% par rapport à 2006 ce qui ne fait que confirmer le potentiel important de ce marché. Au vu des éléments chiffrés du marché, on peut estimer à 3,19 Millions d'euros le chiffre d'affaires par agence et le nombre moyen de salariés à 11 contre 9,18 l'an passé.
[...] L'ensemble de cette organisation est basé sur le marché. Un siège social surveille chaque division qui est chargée de servir un marché distinct. Cette organisation nécessite donc un minimum d'interdépendance et de coordination entre les divisions. La principale préoccupation du siège social dans ce type de structure est de trouver un système pour permettre la coordination des divisions sans pour autant nuire à l'indépendance des unités. Le siège impose alors des standards de production comme des protocoles de contrôle de la production, de la performance et des résultats. [...]
[...] Il leur est difficile de partager l'information, de déléguer, faire confiance, et surtout de ne pas intervenir. Ces leaders veulent tout gérer, notamment les points stratégiques inhérents à l'entreprise, et leur autorité peut être mal acceptée au sein de l'entreprise. D'autres limites existent dans le cas où le leader échouerait dans son rôle. Si les dimensions de confiance, de fiabilité et d'intégrité du leader sont remises en cause, alors les rapports et la coopération des subordonnés avec le leader vont se dégrader. [...]
[...] Les chiffres incluent le travail des intermittents. L'utilisation régulière d'intermittents dans les agences de communication est une des caractéristiques de ce métier qui fait face à des surcharges de travail sur des périodes plus ou moins longues ou pour des missions précises, ce qui nécessite des embauches de courte ou de moyenne durée. De plus, les agences évènementielles travaillent en étroite collaboration avec un nombre important de prestataires. Les entreprises n'inscrivent pas systématiquement les actions de communications évènementielles dans une stratégie annuelle, le marché poursuit tout de même sa progression et surtout sa professionnalisation. [...]
[...] Le changement est devenu l'un des problèmes majeurs des dirigeants d'entreprises. Une succession de changements dans l'environnement, la volonté des dirigeants de mettre en place une nouvelle stratégie, la nécessité de favoriser l'esprit d'entreprise pour développer l'innovation, la prise de conscience de problèmes organisationnels sont autant de raisons d'envisager une refonte plus ou moins complète de l'organisation. Elle doit être de plus en plus flexible et réactive pour mieux faire face à la concurrence. Nous tenterons de comprendre les phases de gestion du changement et ses typologies de conduite, ses facteurs d'échec et ses leviers La gestion du changement organisationnel. [...]
[...] Les TPE y entretiennent des relations étroites, les dimensions affectives et subjectives y sont fortes. Dans son parcours, le dirigeant tisse des relations institutionnelles avec les collectivités locales, les administrations . Ses relations sont primordiales pour conforter son image et sa légitimité. De plus, elles donnent l'opportunité de constituer un carnet d'adresses qui permettra d'obtenir des informations pouvant influer directement sur l'entreprise. Dans ce cas précis, on peut observer que les TPE se caractérisent par une gestion de proximités tant au niveau de ses relations avec les partenaires, qu'avec la hiérarchie et la proximité géographique des collaborateurs. [...]
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