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La majeure partie du commerce électronique relève du commerce B-to-B, du commerce interentreprises. Cette importance s'explique pour une part par la relative ancienneté du commerce électronique B-to-B : l'EDI est un système d'échange de données électroniques qui s'est développé avant l'Internet commercial, mais qui a pour inconvénient d'utiliser des langages propriétaires (contrairement à Internet qui utilise des langages standard) et d'être lourd à mettre en place.
Les entreprises par ailleurs ont des capacités d'investissement que n'ont pas les particuliers afin de s'équiper pour le commerce électronique.
Enfin, celui-ci n'est qu'un élément dans une politique d'ensemble d'E-business.
[...] Ces types d'achat, très consommateurs de budget, de temps et de suivi sont souvent organisés de façon peu systématique et sont de ce fait des sources potentielles importantes de réduction de coût. L'E‐PROCUREMENT (ACHAT ELECTRONIQUE) Exemple Microsoft a implanté dans son entreprise un outil appelé MS Market accessible via Internet qui permet aux employés de faire des commandes en ligne facilement et rapidement, plutôt que de passer par des processus administratifs longs. Le but de ce système est d'automatiser au maximum des achats qui représentent des transactions de faibles montants mais également des volumes importants. [...]
[...] L'erreur la plus commune —outre de surestimer la performance des applications informatiques offertes aujourd'hui sur le marché— consiste à penser que la technologie apporte une solution de remplacement aux pratiques actuelles des entreprises ; c'est ignorer la complexité des relations qui sous‐tendent les échanges commerciaux entre les entreprises et celle des relations qui constituent l'activité interne des organisations. Enjeux Les transactions en ligne s Les transactions en ligne s'inscrivent inscrivent dans un processus ancien (par exemple la supply dans un processus ancien (par exemple la supply chain management) et elles s'intègrent dans l'évolution du travail des acheteurs. Le processus est nécessairement progressif et certainement plus lent qu'on ne l'avait prédit. [...]
[...] Les applications de Selling pp g Chain Management incluent typiquement les g yp q catalogues électroniques, les cotations de prix, l'information sur la disponibilité des produits, la gestion des commandes, la gestion des contrats de vente, la gestion des vendeurs et de leurs commissions. Les forces de vente doivent développer les services aux clients, travailler avec une plus grande rapidité et une plus grande fiabilité et le tout sans coûts supplémentaires voire avec des coûts réduits La réduction des coûts supplémentaires, voire avec des coûts réduits. La réduction des coûts peut passer par la mise en place de systèmes de commande self‐ service un soutien technique réduit ou automatisé avant la vente, p laréduction des erreurs par l'automatisation. [...]
[...] appelle la vente assistée Celle‐ci englobe l'automatisation de la force de vente, la gestion d'agenda de groupe, la vente collaborative et la planification. Un système de vente assistée passe par la coordination des activités de tous les intervenants dans le processus de vente, qu'ils soient au siège central, sur le terrain ou dans le centre d'appels. Un tel système permet de dégager une vue unifiée de l'ensemble des activités de vente. La clé de U t l tè t d dé ifié d l' bl d ti ité d t L lé d voûte technique de ce système est une infrastructure de communication qui intègre le réseau téléphonique et les données informatiques. [...]
[...] Chacun de ces flux est descendant (fourniture des biens ou paiement par exemple) et ascendant (retour de marchandise ou ) ( crédit et remboursement par exemple). SUPPLY‐CHAIN MANAGEMENT (GESTION DE LA CHAINE D'APPROVISIONNEMENT) EEntre ces acteurs multiples qui échangent entre eux, mais qui t t lti l ié h t t i i doivent aussi traiter en interne ces flux multiples, les causes d'erreurs et de délais sont considérables, conduisant à des inefficiences coûteuses : mêmes opérations réalisées plusieurs fois inefficiences coûteuses : mêmes opérations réalisées plusieurs fois à chaque étape de la chaîne, correction des erreurs, sur‐stockage de marchandise, retour de marchandises non désirées, etc. [...]
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