La gestion des connaissances à l'ère du numérique de l'open data

Victor D.

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La gestion des connaissances à l'ère du numérique de l'open data

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Thèmes abordés

NTIC Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication, open data, numérique, data science, profession libérale, IA Intelligence artificielle, digitalisation, productivité, big data, banque, cryptomonnaie, Boursorama, système financier, risque financier, médecine, téléconseil, Doctolib, télémédecine

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Résumé du document

L'arrivée sur le marché de ces nouveaux acteurs soulève de grandes questions sur l'avenir de ces secteurs : les acteurs traditionnels ne risquent-ils pas de devenir tributaires de ces plateformes ? La qualité des services proposés ne risque-t-elle pas de baisser ?
Comment les nouvelles technologies de data sciences peuvent-elles maximiser la valeur ajoutée des professions libérales en limitant les risques de dérives d'une trop grande libéralisation de ces domaines ?

Sommaire

Le secteur médical
1. Introduction à la gestion des connaissances dans le domaine médical
2. L'impact des nouvelles technologies dans l'exercice de la médecine (Intelligence Artificielle, Big Data, Algorithmes)
3. La place du patient dans le système de santé à l'ère du numérique
4. Des nouvelles technologies qui ne doivent pas mener à un productivisme médical
Le secteur bancaire
1. Introduction à la gestion des connaissances dans le domaine bancaire
2. La banque (et plus largement le système financier), à l'heure du big data, des algorithmes et de l'IA
3. La place du client dans le système bancaire actuel
4. L'impact des technologies sur le secteur : des risques financiers toujours accrus

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Extraits

[...] La banque (et plus largement le système financier), à l'heure du big data, des algorithmes et de l'IA Le digital a fait naître des processus de financement nouveaux. On relève une désintermédiarisation du financement, aidée par des robot-advisors, qui conseillent les particuliers sur la façon dont ils devraient placer leurs actifs, et ce sans passer par une banque ou un fonds de placement. Les conseils sont basés sur des algorithmes et nécessitent peu d'intervention humaine. Ils sont donc peu onéreux pour les particuliers. [...]

[...] La distinction à son importance, car tous ne sont pas touchés dans les mêmes mesures par les avancées technologiques. Le nombre de personnes pouvant exercer la médecine est fixé chaque année depuis l'existence du Numérus Clausus. Mais la rigidité de la profession soulève le problème d'une diminution du nombre de médecins en France alors que la population augmente, vieillit (ce qui nécessite d'aller plus souvent chez le médecin) et les jeunes médecins refusent de s'installer dans les régions rurales. L'étude datant de 2011 de l'Atlas de la démographie médicale française confirme en effet que le taux de départ des médecins d'élève à plus de alors que celui des médecins nouvellement inscrits 2,5%. [...]

[...] L'internationalisation des banques centrales des débuts du xxe siècle à nos jours. Berbain, C. (2017). La blockchain : concept, technologies, acteurs et usages. Annales des Mines - Réalités industrielles, août 2017(3), 6-9. https://www.cairn.info/revue-realitesindustrielles-2017-3-page-6.htm. [...]

[...] La qualité des services proposés ne risque-t-elle pas de baisser ? Comment les nouvelles technologies de data sciences peuvent-elles maximiser la valeur ajoutée des professions libérales en limitant les risques de dérives d'une trop grande libéralisation de ces domaines ? Nous approfondirons les relations entre homme et machine ainsi que de la formalisation numérique des connaissances dans le secteur médical puis dans le secteur bancaire (II). Le secteur médical Le secteur médical est un secteur qui en France est très traditionnel. [...]

[...] Ce qui peut être particulièrement pratique pour les personnes habitant en désert médical. Concernant ces plateformes, elles sont aussi pratiques pour le médecin qui peut rentabiliser leur temps (en proposant tous les créneaux auxquels ils sont disponibles), gérer de manière automatique leurs rendez-vous (et économiser, parfois, les frais d'une secrétaire). La limite étant néanmoins le fait que si un médecin n'a pas souscrit à la plateforme Doctolib, il est référencé, mais a beaucoup de mal à apparaître dans les recherches. [...]

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