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Les pays les plus cotés en matière de production et d'exportations automobiles sont principalement l'Amérique du Nord, qui regroupe les États-Unis et le Canada, la France, qui constitue le principal destinataire du marché automobile marocain et les Pays de l'Europe Centrale et Orientale (PECO).
L'industrie automobile au Maroc est née en 1962 pour répondre à un vœu d'industrialisation du pays, elle a subi depuis, des mutations structurelles, technologiques et industrielles, celles-ci initiées par des textes de loi, devaient répondre à des objectifs différents.
Les écarts constatés par rapport aux objectifs avaient orienté le gouvernement et les professionnelles à opérer des adaptations réglementaires et structurelles.
Ces objectifs étaient d'avoir :
- Un impact positif sur l'économie en réalisant des économies de devises avec la substitution des importations de véhicules par des composants (CKD) assemblés localement.
- Un effet d'entraînement sur le tissu industriel, par la mise en place progressive d'une industrie des composants
[...] Quant au marché des poids lourds, il a stagné tout au long de la période 1996-2004 autour d'une valeur moyenne de 4.322 unités. En dépit de la stagnation du montage local, due à l'essoufflement du projet de la voiture économique Fiat, les ventes automobiles ont poursuivi une progression de par an en moyenne, passant à 54.924 unités en 2004.Le graphique ci-après traduit l'évolution du marché de l'automobile à fin janvier 2006 par rapport à 2005, pour les trois segments : voitures particulières, utilitaires, 4X4 Le secteur automobile a toujours figuré parmi les principales préoccupations des pouvoirs publics, depuis la création de la société nationale de l'assemblage et de la construction automobile (SOMACA) en 1958 et l'incitation à une grande valorisation locale jusqu'à la conclusion en 1995 de la première convention sur la voiture économique avec le constructeur Fiat pour faire face au rétrécissement de la demande sur le produit national au profit de la voiture d'occasion importée. [...]
[...] Lancement du projet L90 Maroc. Depuis 2003, Renault est engagée dans un vaste projet industriel visant à faire du Maroc une base d'exportation régionale de son véhicule familial Dacia Logan. A la dimension commerciale de l'entreprise, une véritable dimension industrielle est venue s'ajouter Janvier : Signature de la convention Voiture Economique Renault Kangoo Juillet : lancement de la Dacia Solenza pour une commercialisation exclusive auprès des taxis urbains. 2)-Organisation de Renault Maroc : Le réseau Renault au Maroc, se compose de Succursales respectivement Renault-Dacia et Nissan situées à Casablanca, le réseau dispose d'une très bonne capillarité pour assurer la vente et l'après vente des véhicules des marques du groupe de 14 concessionnaires( Renault et Dacia) et de 11 concessionnaires Nissan. [...]
[...] Renault a signé avec l'État marocain, le 26 juillet 2003, un protocole d'accord en vue du rachat des 38% détenus par ce dernier, dans le capital de la SOMACA. L'opération s'est déroulée en 2 étapes : fin septembre 2003, Renault a repris 26% du capital de la SOMACA. La cession des 12% du capital a été réalisée fin octobre 2005. À l'issue de l'opération, Renault et sa filiale Renault Maroc (détient du capital de la SOMACA) détiendront conjointement 46% du capital. [...]
[...] Les autres incorporent des avantages psychosociaux, au-delà des stimulants financiers. Ainsi certaines entreprises personnalisent la relation avec la clientèle Donnelly, Berry et Thompson établissent la distinction suivante entre clients et bons clients : Les clients peuvent être anonymes ; pas les bons clients Les bons clients sont isolés de la masse des consommateurs ; Ils sont traités individuellement. Un simple client peut être servi par n'importe qui. Un bon client a souvent son vendeur attitré. Les derniers enfin comportent des liens structurels. [...]
[...] Certains estiment que le rapport va de 1 à 5. Sachant d'autre part, que le consommateur est devenu volage et que la fidélité n'est plus une valeur dominante, l'entreprise se voit donc obligée de l'entretenir constamment. Cette démarche de fond ne se résume pas seulement à l'usage d'outils marketés ou promotionnels censés connaître et satisfaire le client. Elle repose sur une véritable stratégie touchant tous les domaines du management : commercial, accueil, études, ressources humaines, production, organisation Etapes d'un programme de fidélisation : La fidélisation efficace passe par un marketing de la relation, en effet la mise en œuvre d'une stratégie de fidélisation revient à mettre en place d'un plan d'actions de marketing relationnel. [...]
Référence bibliographique
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