Secteur des véhicules hybrides France, environnement concurrentiel, Toyota, Honda, Ford, voitures électriques, analyse SWOT, forces de Porter, Mercedes, Kia, Renault, émission de CO2, parts de marché, évolutions technologiques
Le marché de l'automobile est en pleine mutation, les constructeurs cherchent sans cesse de nouveaux moyens pour satisfaire une clientèle de plus en plus informée et exigeante. Si les modèles hybrides ont fait officiellement leur apparition au 20e siècle, il n'en reste pas moins que le concept est bien plus ancien que cela. En effet, l'idée de construire un modèle plus propre arrive dès 1905, mais il est rapidement abandonné, jusqu'en 1970, période à laquelle les premières crises pétrolières voient le jour. À cette date, beaucoup de compagnies automobiles souhaitent investir dans le développement de véhicules hybrides et électriques. Toutefois, le prix du pétrole se met à baisser et l'idée est à nouveau écartée. Il faudra attendre plus de 20 ans pour que le concept refasse son apparition, il est ainsi question de réduire les émissions et la consommation des véhicules, les rendant plus propres. Cela entre dans la tendance du moment, l'intérêt des consommateurs pour la protection de la planète ayant augmenté ces dernières années.
[...] Le véhicule peut bénéficier des deux types de moteurs sans pour autant le fragiliser. La partie électrique permet de ne pas polluer et récupère l'énergie lorsqu'elle freine. Le moteur thermique prend le dessus lorsque la vitesse devient trop importante et permet de dépenser moins de carburant sur le long terme. Lorsque la voiture est à l'arrêt, les deux moteurs le sont également. Lorsqu'elle commence à rouler, c'est le moteur électrique qui fonctionne et lorsque la voiture arrive à une certaine vitesse, généralement entre 80 et 120 km/h, tout dépend de la gamme du véhicule et de ses caractéristiques, c'est le moteur thermique qui prend le relais. [...]
[...] La partie électrique est réversible pour que le véhicule puisse récupérer une partie de son énergie cinétique pendant qu'il roule, et plus précisément grâce au freinage régénératif. L'électrique se transforme alors en générateur, ce qui permet un stockage de l'électricité. Les moteurs hybrides doivent avoir ce que l'on appelle un surplus d'énergie grise, cela est certes plus cher à fabriquer, mais permet de réduire les émissions de CO2 pendant son utilisation. Les moteurs hybrides sont par conséquent une combinaison entre une partie thermique et l'autre électrique. [...]
[...] Conclusion Aujourd'hui, le secteur des hybrides reste porteur, même si leur avenir reste incertain. Ces véhicules continuent à séduire les consommateurs, surtout ceux qui veulent pouvoir profiter de leur voiture en ville, mais aussi sur de plus longs trajets sans avoir à se soucier de trouver une borne de recharge en urgence. Grâce aux présentations des moteurs hybrides et à sa comparaison avec l'électrique, nous avons pu voir que l'hybride n'est pas totalement en accord avec les prévisions annoncées, surtout en termes de pollution, de rentabilité ou de consommation de carburant. [...]
[...] Analyse SWOT du marché Les forces Les moteurs hybrides sont plus écologiques, et ils répondent ainsi, comme nous l'avons dit plus haut, aux tendances actuelles. En effet, elles possèdent un grand succès auprès des consommateurs, pour le moment davantage que les véhicules 100% électriques, car plus pratiques pour une utilisation nomade et moins de contraintes en recharges. En outre, les véhicules dits plus verts possèdent pour les utilisateurs un meilleur confort d'utilisation au quotidien, ce qui change de premiers modèles sortis dans les années 2000. [...]
[...] Et pour cela, vous avez besoin d'une infrastructure de recharge publique. Et ce sera toujours un problème crucial. Si les hybrides continuent de voir le jour et d'être développés, il n'en reste pas moins que de gros progrès devront être réalisés, pour les rendre parfaitement rentables et surtout, pour que les conducteurs sachent parfaitement les utiliser. Malheureusement, les données d'émissions de CO2 ne reflètent pas leur réel impact sur l'environnement. Les conditions réelles sont faussées et cela impacte quelque peu l'image que peuvent avoir les consommateurs. [...]
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