Action stratégique, BLC Industrie, diagnostic stratégique, secteurs des services industriels du travail des métaux, marché du SITRAM, Renault trucks, Bosch, Alstom, appels d'offres, banques, investisseurs privés, secteur de l'automobile, délocalisation à l'étranger, hausse du prix, matières premières
Les donneurs d'ordre ont tendance à vouloir simplifier leur approvisionnement, et à le rentabiliser. En effet, leurs appels d'offre, émis sur le net, permettent d'avoir un plus grand nombre de fournisseurs potentiels, dont des étrangers qui ont des tarifs plus intéressants.
Paradoxalement, ils essaient de réduire leur nombre de fournisseurs et pratiquent ce que l'on appelle la massification, c'est-à-dire des commandes importantes au même fournisseur. Cette façon de fonctionner fait qu'ils créent des « rangs » de fournisseurs, en effet les gros sous traitants deviennent donneurs d'ordres aux sous traitants de taille plus modeste, on parle de sous-traitance en cascade. Ils sont également à la recherche de qualité et aiment les certifications ISO. Leur demande devient plus faible pour les sous traitants de la SITRAM, du fait de l'innovation technologique permanente qui tend à l'utilisation de matériaux autre que le métal. La demande est, de ce fait, également standardisée.
[...] En effet, il ne représente 10% de la production, ne rapporte que de valeur ajoutée, et seulement 30,3K par effectif. On peut voir que le portefeuille n'est pas du tout équilibré, un DAS est à coup sûr un positionnement judicieux, les métaux et processus spéciaux requièrent un savoir-faire pointu, les donneurs d'ordre demandent des certifications, il n'y a donc pas de risques de délocalisation. De plus, sa rentabilité est énorme. Il s'agit du produit star vache à lait de l'entreprise. [...]
[...] Action stratégique de BLC Industrie Diagnostic stratégique d'une entreprise Analyse de l'environnement des secteurs des services industriels du travail des métaux Les acteurs du marché du SITRAM sont : - Les donneurs d'ordres tels que Renault trucks, Bosch, Alstom. - Les banques - Les investisseurs privés - Les concurrents : sous-traitants de premier rang - Les sous-traitants de second rang Les donneurs d'ordre ont tendance à vouloir simplifier leur approvisionnement, et à le rentabiliser. En effet, leurs appels d'offres, émis sur le net, permettent d'avoir un plus grand nombre de fournisseurs potentiels, dont des étrangers qui ont des tarifs plus intéressants. [...]
[...] L'amélioration du CA par tous les moyens est importante, car BLC industrie doit absolument éviter de se retrouver sous-traitant de second rang. Pour ce faire, la recherche active d'investisseurs doit être sans relâche, dans le but de toujours être à la pointe de la technologie. On peut également noter que les créances sont très importantes, il serait judicieux de voir à réduire les délais de paiement, dans le but d'avoir des liquidités disponibles. Axes de développement possibles : Il peut être intéressant, dans la logique d'une diversification, de penser à ne pas se diversifier uniquement dans la mécanique industrielle, mais de s'ouvrir à d'autres activités de la SITRAM, grâce aux quatre ateliers, par exemple le découpage-emoulissage, deuxième secteur après la mécanique industrielle. [...]
[...] Analyse interne et diagnostic stratégique de BLC industrie. PORTER : SWOT : Interne : Forces : - Patron expérimenté (METALLAC) - Flexibilité des ateliers - Dimension humaine importante, volonté de bien-être des salariés - Certifications ISO gage de qualité - Forte réactivité de la main-d'œuvre jeune - Gamme de services client qui donne un avantage concurrentiel Faiblesses - Difficulté à recruter de la main-d'œuvre qualifiée - Dépendance trop forte vis-à-vis des donneurs d'ordres - Manque de financements - Taille critique par rapport aux idées des donneurs d'ordre pour le premier rang - Taille trop limitée par rapport aux demandes des clients - Risque de devenir un sou traitant de second rang Externe : Opportunités : - Clients à la recherche de qualité et de certifications diverses (ISO . [...]
[...] La demande est, de ce fait, également standardisée. Les investisseurs et les banques restent frileux à cause de la cherté de l'euro, bien que la conjoncture économique devienne plus positive en Europe. Le secteur de l'automobile reprend timidement et provoque une certaine hésitation quant à l'accord de prêts et d'achat de parts. Les concurrents suivent les tendances du marché, les gros sous traitants ont tendance à externaliser du fait de la nature des commandes des donneurs d'ordre. Il est difficile pour les entreprises de réussir à respecter les 35 heures, à cause du besoin de flexibilité. [...]
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