Analyse SWOT N26, secteur des banques en ligne, Wirecard, forces et faiblesses, menaces et opportunités, partenariats, service client, piratage, environnement concurrentiel, Nickel, Boursorama, ING, Fortuneo, Revolut, Orange Bank, Anytime, Bunq, Vivid, Monese, Ma French Bank, Starling, Vaultia, Qonto, Shine, Memo Bank, Kard, Pixpay, Vybe, Curve, Linxo, Aumax, Yeeld, Helios, OnlyOne
L'histoire de N26 commence en 2013 lorsque deux Autrichiens, Valentin Stalf et Maximilian Tayenthal ont lancé leur première entreprise, Papayer, qui proposait des cartes de crédit prépayées à usage limité pour les adolescents. Les deux entrepreneurs se rendent toutefois compte que le segment des adolescents est trop restreint et qu'une banque 100% mobile pour adultes serait beaucoup plus porteur. Ils décident donc de changer de modèle et de lancer Number26 deux ans plus tard. L'entreprise se fait enregistrer en Allemagne et forme un partenariat avec Wirecard pour émettre les cartes bancaires. Très vite, leur application séduit le public par sa simplicité, son modernisme et ses tarifs très attractifs par rapport aux banques traditionnelles et en ligne.
[...] Une stratégie de partenariats efficace Si N26 gère directement la partie compte courant et les outils qui y sont associés comme « Espaces » (des cagnottes permettant d'épargner automatiquement), la marque s'associe avec les meilleurs acteurs du marché pour enrichir sa proposition de valeur comme avec le crédit à la consommation en France qui est proposé par Younited Credit ou encore les transferts internationaux pour lesquels l'entreprise allemande a conclu un partenariat avec TransferWise.[11] N26 a aussi été une des toutes premières banques en France à avoir proposé Apple Pay en 2017. La marque a donc une image d'entreprise novatrice et agile. [...]
[...] L'entreprise raccourcit son nom en N26 pour faciliter sa communication lors de son expansion internationale. Un an plus tard, la banque revendique plus de 500000 clients et un an plus tard, le palier du million de clients est franchi. Déjà soutenu par des investisseurs de renom comme Peter Thiel, l'entreprise procède à plusieurs levées de fonds en 2018 (160 millions de dollars) et 2019 (300 millions de dollars)[1] qui lui permettent d'entrer dans le club très fermé des « licornes ».[2] Au total, l'entreprise a réussi à lever plus de 670 millions de dollars depuis sa création et est valorisée 3,5 milliards de dollars aujourd'hui. [...]
[...] Analyse SWOT - N26 I. Introduction A. N26 L'histoire de N26 commence en 2013 lorsque deux Autrichiens, Valentin Stalf et Maximilian Tayenthal ont lancé leur première entreprise, Papayer, qui proposait des cartes de crédit prépayées à usage limité pour les adolescents. Les deux entrepreneurs se rendent toutefois compte que le segment des adolescents est trop restreint et qu'une banque 100% mobile pour adultes serait beaucoup plus porteur. Ils décident donc de changer de modèle et de lancer Number26 deux ans plus tard. [...]
[...] Ces dernières sont apparues au début des années 2010 comme N26 créé en 2013 et Nickel en 2014. Profitant de l'explosion de l'usage des mobiles et de la frustration des consommateurs envers leurs banques traditionnelles, cette nouvelle génération de banques (la deuxième étant les banques en ligne ave Boursorama, ING, Fortuneo ) a soufflé un vent de nouveauté dans le paysage bancaire en offrant une expérience client de haut niveau et une mise en relation simplifiée, mais surtout transparente avec leurs banques. [...]
[...] Faiblesses Un service bancaire encore trop incomplet N26 propose aujourd'hui des comptes pour les particuliers et les autoentrepreneurs. Si le compte courant N26 pernet une bonne gestion quotidienne des dépenses, la banque ne propose toutefois pas (encore) de découvert, de compte épargne rémunéré, de crédit immobilier ou de chéquier. En janvier 2021, l'entreprise ne délivre toujours que des IBAN allemands à ses clients résidants en France. Or, le versement des salaires et le paiement de certaines factures comme l'électricité et les abonnements mobiles posent toujours un problème pour beaucoup, et ce malgré une législation interdisant une discrimination à l'IBAN.[13] Enfin, dans certains marchés comme la Suisse ou la Pologne, les comptes N26 ne sont pas disponibles en devise locale, mais en euros. [...]
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