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Depuis une dizaine d'années environ, les banques traditionnelles ont vu l'émergence d'un nouveau type de concurrence. En effet, les services bancaires se sont dématérialisés au maximum et de nombreux acteurs ont donc profité de cela pour créer un grand nombre de banques en ligne. Ces banques sont globalement les mêmes que les banques physiques, et proposent peu ou prou les mêmes services et les mêmes garanties de sécurité que leurs concurrents. En revanche, n'ayant pas à supporter les frais des agences traditionnelles, elles sont souvent bien moins chères et séduisent chaque année de plus en plus de consommateurs.
En effet, toutes les banques ont dû procéder à cette digitalisation, qui est devenue essentielle au fil des ans, pour assurer le bon développement des agences tout d'abord, mais également pour faire face aux nouveaux désirs des clients. Même au sein d'une banque physique, ces derniers peuvent tout faire de chez eux ou presque, et les Français déclarent se rendre bien moins souvent en agence qu'auparavant. Profitant de ces nouveaux changements d'habitudes, les banques en ligne connaissent donc un franc succès auprès des Français.
[...] Il existe d'autres banques en ligne, comme nous l'avons précisé au début de cet article. En effet, certaines banques comme le compte Czam de Carrefour ou encore le compte Nickel que l'on trouve dans les bureaux de tabac offrent la possibilité aux clients en situation d'interdit bancaire de pouvoir tout de même ouvrir un compte. Il existe cependant beaucoup de différences puisque ces organismes ne proposent, pour le moment en tous cas pas de chéquiers et surtout ne permettent pas aux clients d'être à découvert. [...]
[...] Il existe en effet trois types de services bancaires en ligne. Le premier, qui est encore le plus utilisé par les consommateurs est le service en ligne des banques physiques. Toutes les agences proposent à leurs clients de consulter leur compte ou effectuer des opérations courantes via un cyberespace qui leur est entièrement dédié. Le deuxième service est la banque 100% en ligne, qui ne possède pas d'agence physique, mais qui parfois fonctionne avec des agences traditionnelles. Ces banques proposent les mêmes services complets que les autres, la différence est que tout se passe en ligne, même les conversations avec les conseillers, qui se font souvent par un système de chat ou bien au téléphone. [...]
[...] Le principe est relativement simple : lorsque le client effectue un paiement par carte bancaire chez un commerçant, il est prélevé de la somme arrondie immédiatement au-dessus euros pour 5,10 euros dépensés) les 90 centimes qui restent sont donc immédiatement placés sur le livret d'épargne. Beaucoup permettent également d'ouvrir des livrets pour les enfants. Les assurances sont également présentes en grand nombre. De par le fait qu'il s'agit de banques 100% dématérialisées, elles doivent garantir à leurs clients un maximum de sécurité. [...]
[...] En effet, en des clients se déclaraient prêts à changer de banque au profit d'une banque en ligne. Il s'agit d'un changement qui est certes de plus en plus facilité par les nouvelles technologies et la réactivité des banques qui est de plus en plus performante ; mais globalement beaucoup de gens hésitent encore. Dans une dizaine d'années, ce seront 7 clients sur 10 qui auront probablement domicilié l'intégralité de leurs comptes dans une banque en ligne, qui propose des tarifs moins chers et qui proposera d'ici peu les mêmes services qu'une banque traditionnelle, en termes d'assurances, de crédits ou d'épargne. [...]
[...] Banques en ligne : qui sont les consommateurs ? Nous l'avons évoqué plus haut, les consommateurs sont de plus en plus nombreux. La principale raison est que les frais dans les banques traditionnelles sont parfois beaucoup trop élevés. Depuis quelques années maintenant, les banques physiques mettent également au point des cyberespaces permettant aux clients de gérer leurs comptes de chez eux ; mais les frais n'en diminuent pas pour autant. Les clients se rendent en agence moins de trois fois par an et ils sont 76% à n'y aller qu'une seule fois par an. [...]
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