PNB Produit Net Bancaire, Crédit Agricole, prévoyance, banques, assurances, CLV Valeur vie client, conseiller clientèle, France, Europe, satisfaction, fidélisation, risques commerciaux et financiers, produits d'assurance, relation client, compétences techniques, épargne bancaire
Dans le domaine de la prévoyance, les banques font désormais jeu égal, voire mieux, avec leurs concurrentes, les assurances. En effet, cette poussée sur le marché de la prévoyance intervient dans un contexte particulier et soutenu de baisse des taux d'intérêt. Devant la concurrence accrue au niveau national et international, elles entreprennent une politique de diversification. De même, les acteurs numériques dans le secteur de la banque et de l'assurance ont des propositions d'entrée de gamme très avantageuses, ce qui nécessite une réaction de la part des organismes traditionnels. Les alternatives sont donc crédibles et en voie d'évolution pour que les banques prennent le relais. C'est donc un moyen non négligeable de générer des revenus supplémentaires tout en constituant un instrument efficace de fidélisation auprès des clients bancaires traditionnels.
[...] Le dernier levier est la mise en place de remises. Si les rabais sur les achats sont monnaie courante dans le monde de l'assurance, alors les mécanismes de tarifs réduits ou de franchises inférieures ou encore de plafonds de garantie à vie plus élevés sont rares. Le problème de la satisfaction est donc intrinsèquement lié au « produit de prévoyance » lui-même. C'est un must à avoir avant de recevoir des prestations. Par conséquent, la garantie de satisfaction dépend de la capacité de l'assurance assurée à tenir sa promesse. [...]
[...] La vente d'offres de prévoyance permet de mettre en activation des conseillers sur un nouveau secteur. C'est aussi une nouvelle opportunité à vendre au niveau des guichets. La force de persuasion sur le portefeuille client est un élément clé de la réussite des banques dans ce domaine. Le personnel monte donc en compétence pour intégrer cette réalité. L'offre est élargie au carnet d'adresses récent, mais aussi à des nouveaux dans d'autres institutions. Il existe même des contrats entre les services de banques et d'assurance qui se mettent d'accord sur les commissions à percevoir en cas de vente d'un produit comme par exemple à travers l'application d'un pourcentage sur le montant du contrat souscrit. [...]
[...] Elles peuvent ainsi plus facilement cerner leurs besoins et effectuer des propositions sur mesure, adaptées aux exigences et aux conditions de leurs clients. Habituées aux mouvements de leurs clients qui sont de plus en plus difficiles, elles sont toujours dans l'adaptation et dans la remise en question. Elles ne se laissent jamais distancer longtemps et reviennent toujours avec des offres intéressantes à court et moyen terme. En plus, elles disposent de davantage de contacts et de relations avec leurs clients leur donnant une longueur d'avance et plus de confiance pour agir. [...]
[...] Son suivi, sa connaissance des dossiers, sa pugnacité en font un élément indispensable de la relation clientèle. D'ici des Français aimeraient avoir un interlocuteur généraliste qui connaît bien leurs expériences personnelles, mais doit les orienter vers un expert qui puisse répondre avec précision à leurs besoins. Les restants préféreraient avoir un accès direct à des interlocuteurs capables de répondre avec précision aux besoins en premier lieu, mais ne connaissant pas l'historique personnel du client. En des Français préfèrent l'aspect technique à l'aspect relationnel (25 et considèrent les deux comme aussi importants. [...]
[...] La prévoyance, un levier de PNB pour le Crédit Agricole Les atouts des banques par rapport aux assurances en matière de prévoyance Dans le domaine de la prévoyance, les banques font désormais jeu égal, voire mieux, avec leurs concurrentes, les assurances. En effet, cette poussée sur le marché de la prévoyance intervient dans un contexte particulier et soutenu de baisse des taux d'intérêt. Devant la concurrence accrue au niveau national et international, elles entreprennent une politique de diversification. De même, les acteurs numériques dans le secteur de la banque et de l'assurance ont des propositions d'entrée de gamme très avantageuses, ce qui nécessite une réaction de la part des organismes traditionnels. [...]
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