stratégie marketing, positionnement, produits, services, banque, secteur bancaire, concurrence, mutations financières
De nombreux produits et services existent sur le marché souvent avec à peu près les mêmes qualités et à peu près les mêmes caractéristiques à des prix relativement différents. Pour échapper à une concurrence de plus en plus vive, les entreprises recherchent la différenciation. Cette recherche incessante a pour conséquence l'apparition, de produits - gadgets ou pseudo-nouveautés éphémères et très vite imités (Annie Rigoureau 1996).
La course à la pseudo-nouveauté trouve son explication dans l'accélération de la concurrence, il devient de plus en plus difficile pour une entreprise de rester durant de longues années dans une situation de monopole car très vite on sera copié, imité et vite rejoint sur le plan commercial (Maurice COHEN 1973).
Théodore Levitt, cité par Marie LEHN 1998, affirmait "qu'aucune société n'a ni la puissance, ni la possibilité de se payer le luxe d'être toujours la première dans son secteur pour toutes les innovations, l'innovation est rare, l'imitation est endémique".
On constate en effet, une orientation des efforts des annonceurs vers la promotion des ventes ou vers une forme de publicité de rentabilité immédiate. Les entreprises renoncent de plus en plus à s'impliquer en profondeur et exigent de la publicité des effets incompatibles avec sa nature.
Normalement, l'action publicitaire requiert des interventions de longue durée en faveur de laquelle, on s'efforce de modifier l'attitude du consommateur face à une marque.
Ainsi, la publicité est utilisée à tort puisqu'on lui impose des objectifs qu'elle ne saurait atteindre. Dès lors, les marques ont moins de constance dans l'esprit des consommateurs. Donc, la prolifération de cette forme de publicité entraine une représentation confuse des marques et peut entacher leur crédibilité.
[...] Galbraith 1968) En effet, pour les entreprises dont la structure productive est lourde, la politique de diversification reste difficile à réaliser sinon impossible à moyen terme. Il faut donc, comme le démontre Galbraith; que ces entreprises puissent continuer à se développer en trouvant de nouveaux débouchés sur leurs propres marchés. Cette exigence est d'autant plus pressante que la nécessité de profiter d'économies d'échelle et les progrès techniques tendent à allonger les séries de production. Dans ce même esprit, T Levitt (1960) explique comment la fabrication en grandes séries pousse les entreprises à se débarrasser de leur production. [...]
[...] Position comme un rang; comment la marque ou le produit et /ou le service se place face à ses concurrents sur ses diverses dimensions d'évaluation? Position comme une attitude mentale; (attitude du client, tendance cognitive, affective et active) envers la marque ou le produit et/ou le service donné. En fait, si l'ensemble des auteurs s'accorde à confirmer l'importance du substantif position comme la situation d'une marque ou d'un produit et/ou service par référence aux autres, s'ils considèrent également que seule compte la position perçue par les consommateurs, une profonde divergence existe quant à l'étendue de la signification du terme positionnement Au sens étroit, toute marque et tout produit connu a une position. [...]
[...] Cette crise financière a eu également un impact sur les marchés financiers internationaux. Certaines banques ont pu éviter, relativement, cette crise comme les banques françaises ou l'essentiel des financements se fait par le biais des dépôts à court terme non rémunérés des ménages. Mais d'autres banques ont subi la crise américaine par exemple la Fortis banque Belge ou l'intervention des banques centrales françaises, belges a permis d'injecter des liquidités assez importantes afin de combler le déficit de cette banque. Dans les pays émergents et /ou en développement, les crises financières ont une double connotation ; la première liée à l'effondrement du taux de change et le second à l'activité bancaire. [...]
[...] A l'instar des entreprises françaises qui émettent des billets de trésorerie, les entreprises américaines ont eu recours à l'émission de «commercial papers». Les entreprises américaines sont plus portées sur le financement par émission d'actions que sur le financement par emprunt obligataire et/ou bancaire. 3-4 Les crises financières et leurs impacts sur l'activité bancaire L'extension des marchés financiers et le recours des différents agents économiques (entreprises commerciales et industrielles, ménages, banques ) aux financements et /ou investissements par le marché, a considérablement augmenté le volume des activités mais en même temps rendu fragile le système financier et économique dans son ensemble. [...]
[...] Carpenter Gregory.S, Glazer Rashi et Nakamoto Keut; «meaningful brands from meaningless differentiation: the dependence on irrelevant attributes Journal of marketing Research, Aout 1994. Saporta.B ; principaux éléments d'une approche inter- disciplinaires des comportements d'achat RFM ; cahier nº Banque de France ; la politique monétaire à l'heure du marché mondial des capitaux ; ouvrage collectif ; Edition la documentation française ; 1998. Bernou Nacer ; Thèse de doctorat de l'université Lumière Lyon 2 ; Eléments d'économie bancaire : activité, théorie et réglementation ; Soutenue le 03 mars 2005. Augey D et Bramoullé G ; économie monétaire ; Editions Dalloz ; 1998. [...]
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