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Le marché Français des produits de jardinage connaît un taux de croissance de +0.6% en 2007 avec un chiffre d'affaires de 6.100 milliards d'euros et poursuit ainsi sa progression des cinq dernières années qui s'élève à +11%.
Néanmoins, cette légère progression s'explique par une climatologie chaotique et une stagnation du pouvoir d'achat qui freinent les ménages dans l'achat de produits de jardinage.
Pourtant malgré une conjoncture délicate, les professionnels de ce secteur gardent confiance en l'avenir avec des statistiques prometteuses, comme par exemple le fait que « 83% des Français disposent d'un espace de jardinage ».
En ce qui concerne, le segment de marché qui englobe les produits de la famille mobilier de jardin, sa part de marché atteint les 624 millions d'euros pour une progression de +5.23% en 2006.
Les circuits de distribution des produits de jardinage sont nombreux mais le plus significatif reste les grandes surfaces de bricolage avec 23% de chiffre d'affaires, devançant ainsi les jardineries avec 19.5% de chiffre d'affaires réalisé en 2006. Ces résultats sont tirés d'une étude de marché de PromoJardin sur les produits de jardinage et nous démontrent l'importance de la grande distribution dans le processus de décision du consommateur.
[...] o Promotion Pour finir, les clients soulignent l'excellent rapport qualité / prix que leur apportent nos produits ainsi que la présence de nombreuses promotions au quotidien. Cela signifie que nous vendons nos produits avec une marge infime ce qui les rend très attractifs et génère du trafic. Les promotions ont pour objectif de projeter une image compétitive de notre rayon dans l'esprit des consommateurs. Pour maintenir des produits avec des marges faibles, nous nous devons de rattraper la perte subie sur les autres produits présents dans le rayon en réalisant des dérives de vente ou des ventes complémentaires. [...]
[...] Le principal critère d'insatisfaction est le service client dans le rayon. - Analyse de l'étude qualitative Méthodologie : 5 personnes vont administrer ce questionnaire pour connaître leur position sur notre rayon Jardin. Pour chaque critère, elles devront cocher une case correspondant à la note qu'elles souhaitent lui attribuer. Cette étude nous permettra de dégager les forces et les faiblesses de notre rayon afin de réaliser notre diagnostic. Par la suite, cette étude sera renouvelée pour mesurer l'effet de nos actions sur le plan qualitatif de notre rayon. [...]
[...] Pour satisfaire notre clientèle et ainsi la fidéliser, nous nous efforçons de personnaliser notre offre auprès de celle-ci. Nous devons également enrichir notre service par des conseils pour optimiser leur satisfaction. CHETOCHINE lorsqu'il évoquait le management de la grande distribution expliquait que la recherche de contacts sociaux de la part des consommateurs est primordiale dans l'acte d'achat et que le manque de personnel en rayon pouvait engendrer un sentiment d'insatisfaction pour la clientèle et ainsi compromettre le processus de fidélisation. [...]
[...] Les principales causes sur lesquelles il faudra réagir sont le service auprès de notre clientèle et la gestion de la démarque. D'une part, la qualité de notre service devra être un objectif prioritaire pour notre rayon dans l'optique de satisfaire et fidéliser notre clientèle. D'autre part, il sera indispensable d'optimiser la gestion de notre stock pour améliorer notre marge et cela passera essentiellement par une augmentation de notre chiffre d'affaires. III/ Plan d'action La confrontation de ces deux diagnostics nous amène à dégager des options stratégiques pour répondre à notre problématique. [...]
[...] Cette situation entraîne un sentiment de régression de la part des Français qui rêvent de retrouver un pouvoir d'achat identique aux Trente Glorieuses. Ensuite, pour le marché des produits du jardinage, on enregistre une forte hausse des prix qui frôle les en décembre 2007. Avec un pouvoir d'achat en stagnation et des prix qui augmentent plus que la moyenne, les produits de qualité deviennent de véritables produits de luxe pour les classes moyennes. Enfin, nous pouvons nous demander, si malgré une forte inflation, les consommateurs sont toujours susceptibles d'acheter ces produits ? [...]
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