Depuis trente ans et plus particulièrement depuis 1970 ,l'environnement est en effet apparu comme un patrimoine mondial essentiel à transmettre aux générations futures et le philosophes Hans Jonas a exprimé cette préoccupation dans son livre « Le printemps responsabilité (1979). Au sommet de la terre à Rio de Janeiro en 1992, la définition Brundland, axée prioritairement sur la préservation de l'environnement et la consommation prudente des ressources naturelles non renouvelables, sera modifiée par la définition des « trois piliers » qui doivent être conciliés dans une perspective de développement durable : Le progrès économique, la justice sociale et la préservation de l'environnement. Il y a ici une notion de progrès repris par le PDNU (Programme Des Nations Unis) qui a crée un autre indicateur de performance que le traditionnel P.IB. C'est l'IDH qui base sa réflexion sur des performances économiques mais également des performances liées au progrès
Mais le rapport le plus signifiant est « l'analyse du club de Rome » où des analystes de la prestigieuse école d'Harvard exprime l'idée que si la croissance dans les pays développés reste à + 5% et que les PMA les rejoignent, d'ici 40 ans, le monde manquera de ressources. Par ces différentes analyses, nous constatons que le développement durable est désormais une préoccupation planétaire. C'est pour cela, qu'au niveau international sur le plan politique ,les Etats ont inscrit cette question sur l'agenda des négociations internationales au sommet de la terre de Rio et la quasi-totalité d'entre eux a signé « La convention cadre des Nations unies sur le changement climatique » stipulant que les signataires s'engagent à limiter les émissions à un niveau qui n'occasionnerai pas de « perturbation anthropique pour le système climatique » .Aucun objectif quantitatif ne fut alors défini mais depuis l'accord de Kyoto signé en 97 qui a pris effet en début d'année les pays industrialisés ont des objectifs contraignants d'émission définis pour 2010 par rapport aux niveaux de 1990.
[...] Ce qui est important, c'est que pour changer les comportements et les mentalités, l'organisation doit mettre en place des campagnes pendant 2 ans. Or le problème c'est que la publicité coûte cher et que notre organisation n'à aucun budget à y consacrer. Il faut donc rechercher des techniques de communication présente au sein des médias retenus qui permettraient d'obtenir une sensibilisation gratuite sur tous les usagers. Ces techniques sont couramment appelé dans le monde de la communication le partenariat. (Ex :BUT et le juste Prix) *Pour la radio techniques sont envisagées. [...]
[...] Pour ce type de service mesurant la faisabilité d'un équipement, les questions auxquels seront sujets les usagers seront toujours les mêmes .Seules leurs réponses divergeront. Ici, l'usager sera dans le cadre d'une implication = car c'est le conseiller en énergie qui va le guider. -Une post évaluation de la servuction L'usager qui a consulter l'agence doit être rappelé pour savoir si d'une part le service créer a répondu a ses besoins et d'autre part, savoir si la prescription des conseillers a été bonne et quelle a été ses effets ? [...]
[...] Enfin le dernier critère de segmentation pour déterminer le segment successible d'acheter rapidement un bien d'équipement thermique est un critère d'intention d'achat. Ici on fait référence a des notions de marché au sens pur avec des critères quantitatif .Il s'agit de mesurer l'état actuel du marché des bien d'équipement et déceler par méthode de projection c'est-à-dire ce projeter dans l'avenir sur ce que sera l'évolution de la demande en terme d'équipement en source d'énergie. Parmi les critères utilisés nous avons : Le parc qui référence en un instant T les sources énergétiques utilisé par les ménages actuellement (Voir graphique) Le taux de renouvellement qui exprime quantitativement le taux de ménage susceptible de changer dans les mois qui suive leurs sources d'énergie Le taux d'achat primaire qui lui exprime les résidants qui sont contraint de s'équiper en source d'énergie. [...]
[...] Soit elle crée un département marketing au sein de son organisation, soit elle fait appel à un prestataire extérieur spécialisé dans ce métier. Dans les 2 cas, l'accès à la mercatique nécessite un investissement colossal. Dans le cas d'organisations philanthropiques de tailles différentes, nous pouvons donc nous poser la question de savoir si l'accès à la mercatique les rend équitable? Bibliographie Livre Porter Choix stratégique & concurrence Economia 1982 Maslow Vers une psychologie de l'étre Fogard Paris 1983 Kotler Philip Le Marketing selon Kotler Broché Kotler Philip “Marketing for non-profitorganizations”Prentice Hall Kotler Philip,Lilien Garry,1983 “Marketing Decision Making” Kotler et Dubois B Marketing et Management 7é Edition Publi Union PL Dubois ,A.Jolibert Le Marketing Fondment et Pratique Economia 3 é édition Eiglier et Langeard : SERVUCTION ,le Marketing des services ,EDISCIENCE ,1996 Peckham Lord of the Rings :Battle for middle Earth» Aaker D.A (1991),”Managing Brand Equity,New York,”The free Press Farquhar Management Brand Equity 1990 Périodique Marketing Novembre 2004 Politique et Management Public vol18-n°2-juin 2000 Site internet http://www2.ademe.fr http://www.ecologie.gouv.fr http://www.commerceequitable.html http://eie.marseille.free.fr http://fr.wikipedia.org/wiki/Protocole_de_Kyoto http://www.bric-a-brac.org/radio/villes/marseille.php Resume Dans notre société tendances s'affrontent .La mercatique, qui est nécessaire à la croissance du marché dans notre société à économie de marché et le développement durable qui lui est nécessaire à la sauvegarde de notre environnement. [...]
[...] (annexe 6 ) Nous constatons que le service de base est un service qui est long demandant une grande attention de la part du personnel en contact. Il nécessite une préparation de la part de l'usager (recherche d'information) et une grande concentration de la part du personnel en contact. Ce qui est intéressant de constater, c'est le service périphérique de l'organisation (la sensibilisation).ne prend que 10 minutes grand maximum. Cela à des conséquences sur la cible les résidants .En effet, les usagers qui perçoivent se service de sensibilisation comme un service de base auront du mal a être sensibilisés .Ce la s'explique par une démarche (un blueprint) qui ne peut pas être la même. [...]
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