En tant que tendance actuelle, la consommation responsable est un terme omniprésent dans l'actualité. Utilisé partout, dans tous les contextes, il nous est donc impossible d'en extraire toutes les études et surtout inutile, car la majorité d'entre elles se recoupent la plupart du temps. Nous présenterons donc ici les études qui nous ont parues susceptibles d'apporter une vision novatrice du sujet. De plus, le fait que la consommation responsable soit un « mélange » de tous les sujets de sociétés actuels (développement durable, commerce équitable…), nous ne pourrons effectuer une étude exhaustive dans ce mémoire de recherche. Aussi nous nous sommes cantonnés à analyser la consommation de biens sur le territoire français. Cependant, étant donné la dimension internationale du mouvement, nous prendrons ponctuellement des exemples hors de France. Mais avant de poursuivre, deux points sont à noter qui révèlent l'intérêt du sujet. Tout d'abord la consommation responsable, comme tous les termes qui lui sont liés, est un véritable enjeu en ce sens où notre futur dépendra de l'évolution de cette tendance. Et c'est pour cela qu'aujourd'hui nous sommes submergés d'informations. C'est un sujet d'actualité et tout le monde en parle. Mais personne ne sait réellement ce qui est en jeu. Quels sont les tenants et les aboutissants de la consommation responsable ? Ce qui est sûr, c'est que ce sujet occupera une place bien plus importante de notre vie future que ce que la plupart des gens veulent bien croire.
[...] Selon elle, il faut cesser de voir la consommation comme un geste purement individuel. C'est un acte collectif ! Il faut que tous les citoyens aient conscience que nos choix de consommation ont des conséquences politiques. Selon Laure Waridel, chaque fois que nous choisissons de boire tel café plutôt qu'un autre, de manger telles céréales ou tels fruits plutôt que tels autres, nous acceptons indirectement la chaîne de production et de transformation des aliments ainsi que le système économique qui a été utilisé avant que le produit n'arrive dans notre assiette. [...]
[...] Selon Jean Baudrillard, un autre sociologue français, la consommation dans les sociétés occidentales serait un élément structurant des relations sociales. La consommation ne serait plus pour chaque individu un moyen de satisfaire ses besoins mais plutôt une façon de se différencier. Enfin, citons la théorie de consommation ostentatoire développée par le sociologue et économiste américain Veblen au tout début du 20ème siècle pour qui la consommation ostentatoire est une consommation destinée à montrer un rang social, un mode de vie ou une personnalité. [...]
[...] - La mobilisation du personnel et des parties prenantes externes autour de valeurs partagées, de projets stratégiques et d'une plus grande ouverture sur l'extérieur permet de réduire le risque social et de créer une dynamique de progrès. Ces partenariats avec les parties prenantes contribuent à transformer les pratiques internes. - Un autre levier important pouvant agir sur le comportement socialement responsable des entreprises est celui du financement, à travers l'ISR (investissement socialement responsable), c'est-à-dire la gestion de fonds intégrant des critères de nature sociale et environnementale aux critères financier classiques. Les fonds institutionnels, comme le fonds de réserve des retraites, ont des objectifs à long terme qui correspondent bien aux valeurs du développement durable. [...]
[...] Trois raisons principales expliquent actuellement le développement des techniques de marketing au sein des entreprises : - Les acheteurs sont de plus en plus armés contre les flatteries du marketing traditionnel grâce aux organismes de protection des consommateurs, aux revues spécialisées, à internet, etc. Ils sont donc mieux informés, plus éduqués et se renseignent davantage avant d'acquérir un produit quel qu'il soit. Les marchés se segmentent ainsi de plus en plus afin de proposer des produits adaptés aux besoins particuliers de chaque groupe de consommateurs. - La concurrence s'est considérablement intensifiée. Le nombre de sociétés fabriquant des produits identiques augmente. [...]
[...] Pour changer le monde, triez vos poubelles leur dit-on. Cependant, les structures ne suivent pas. Les centres de tri ne sont pas adaptés et finalement seuls 13% de nos déchets sont recyclés. Le reste est soit incinéré soit finit en compost Les conserves sont recyclées à hauteur de le verre à le plastique à 46% et les emballages légers à 27% seulement alors qu'ils sont recyclables à 100%. Il y a encore du chemin à parcourir pour que la structure du pays suive le discours des dirigeants. [...]
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