Le tourisme est la plus grande industrie du monde (Wells, 1997) avec plus de 800 millions de voyageurs par an et une recette de près de 650 milliards de dollars en 2005 (Jeune Afrique, n°2384, septembre 2006). Cette croissance s'explique par les styles et modes de vie contemporains et se traduit par une augmentation et un élargissement de l'offre touristique.
C'est donc une industrie majeure tant pour les pays industrialisés que pour les pays en développement.
En Afrique, le tourisme constitue un potentiel économique en croissance, avec 6 % du marché mondial. Les pays du Maghreb, en Afrique du Sud et au Kenya composent la triade leader du marché, ne laissant que très peu de part à se partager entre la cinquantaine d'autres pays (notons néanmoins que le contexte politique instable ou considéré comme dangereux de certains pays ne leur permettent pas de développer d'activités touristiques).
Le tourisme en dehors de ses différents apports directs (pour le développement, financiers, culturels,..) offre des opportunités de développement économique pour l'Afrique (infrastructures, éducation…). Mais mal géré, la croissance constante du tourisme risque de nuire à son propre développement en menaçant l'environnement où il progresse. En effet, en raison de son volume, il peut contribuer à la dégradation des sols, provoquer une certaine inflation économique à l'échelle locale ainsi qu'élargir le fossé culturel entre les communautés locales et les visiteurs (Lequin, 2003). C'est pourquoi l'on parle de plus en plus d'écotourisme.
[...] Au contraire, chacune des parties abandonne toujours une moins grande pour une plus grande valeur (Condillac, au XVIIIe siècle). Ainsi l'échange, quel qu'il soit, ne peut avoir lieu que s'il y a cette inégalité dans l'esprit de chacune des parties, qui découle de la subjectivité de la valeur. Cependant, L'idée selon laquelle l'échange pourrait être inégal est largement répandue. Or selon certains auteurs elle est fausse et radicalement fausse. Il est en effet un principe universel, à savoir qu'un échange libre est profitable aux deux partenaires (sinon, bien sûr, ils ne le décideraient pas). (Pascal Salin). [...]
[...] Le tropisme africain et subsaharien est confirmé. Les français face aux enjeux de la planète pensent que les sujets sociétaux et environnementaux sont au cœur des réflexions des Français : dégradation de l'air et de l'eau, des sols et des paysages par les activités humaines (25 le réchauffement de la planète et les catastrophes qui en résultent (22 Dans ce panorama témoignant d'une réelle prise de conscience de ces enjeux, la question de l'écart entre le niveau de vie entre les pays pauvres et les pays riche reste en retrait (16 Les Français sont très pessimistes sur les enjeux de développement durable. [...]
[...] Les habitants vivent de l'agriculture, de la pêche, et de la production de sel principalement. La production de sel par les femmes du village nécessite du bois de chauffe. Celle-ci utilisait le bois des palétuviers (arbres composant la mangrove et donc la vertu est de très bien brûler même encore vert) et la forêt lagunaire n'avait pas le temps de se régénéré. C'est alors toute la biodiversité et la vie économique dont dépend cette mangrove qui se retrouve menacée ; d'où l'utilité de sa protection. [...]
[...] Compte tenu de besoin du pays une infinité d'activités peut être proposées au touriste pour le plus grand apport des uns et des autres. Conclusion L'écotourisme est une source de développement économique, avec le souci de la protection de l'environnement et des populations, non constatable dans les pays en voie de développement en théorie. La lecture de ce mémoire nous apporte plusieurs enseignements porteurs : - Les touristes de notre pays sont tout autant attirés par une nature préservée que par des contacts avec des hommes porteurs de cultures différentes. [...]
[...] Smith, par exemple, bien que le riche construise des palais et fasse seul bonne chère, il doit faire appel aux ouvriers et les payer, de sorte que la production entraîne malgré tout, une certaine redistribution, une justification du système capitaliste Chacun est influencé par des schémas mentaux, des émotions, des raccourcis heuristiques, bref par une rationalité qui conduit à adopter un comportement adaptatif. La "prospect théorie" accorde ainsi plus de poids au changement de richesse qu'à son niveau absolu, aux pertes plutôt qu au gain de même montant. La prise en compte de l'émotion comme la réciprocité ou l'équité conduit à repenser les échanges. L'attribution de la valeur dans le cas du transfert de connaissance lors d'expérience lorsqu'elle n'est pas rémunérée de façon financière doit être équitable d'une part et d'autre de la transaction. [...]
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