Domaine de La Roseraye, site patrimonial, site familial, Sainte-Rose, La Réunion, sucrerie, patrimoine culturel, tourisme durable, site touristique, attraction, tour-opérateurs, tourisme de masse, tourisme culturel, Cana Suc, hébergement, chambre d'hôtes, Gîtes de France, Guadeloupe, île Maurice, Les Seychelles, Musée du Louvre, patrimoine vernaculaire, patrimoine naturel, UNESCO, monument historique, patrimoine européen, tourisme de formation, tourisme urbain, surfréquentation, économie locale, développement durable, mise en tourisme, ministère du Tourisme, ministère de la Culture, mémoire collective, parc naturel, parc national, patrimoine labellisé, tourisme patrimonial, DOM Département d'Outre-Mer, Outre-mer, patrimoine colonial, patrimoine industriel, patrimoine de l'événementiel, biodiversité, NTIC Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication, préservation du patrimoine, fouilles archéologiques, maison créole
La mise en tourisme d'un site patrimonial et culturel peut-elle répondre aux critères et contraintes d'un tourisme durable ? Cette problématique permet de soulever plusieurs questions : est-ce que ce projet peut s'inscrire dans une logique de tourisme durable ? Quels obstacles pourraient empêcher la réalisation de ce projet ? Comment rendre attractif pour les visiteurs ce nouveau site touristique ? Est-ce que le classement de ce site apportera une meilleure reconnaissance du public ?
Ce mémoire se propose d'évaluer l'attractivité potentielle d'un patrimoine unique à La Réunion. Cette étude permettra de déterminer quels sont les styles de sites que les touristes veulent visiter à La Réunion et, plus précisément, dans la région Est.
[...] Il est donc difficile de donner une définition précise pour chaque type de touriste dans la diversité des acceptions liées au concept de culture. Nous pouvons tout de même nous pencher sur un autre tableau, voir ci-après, de typologie de touristes culturels, qui se rapproche du précédent de façon plus précise. Source : CAMORS C., SIMORRE A., SOULARD O. (2016), Lieux culturels et valorisation du territoire, tome 1 : tour d'horizon international, IAU idF, p Ici, nous pouvons voir quatre styles de touristes : Le visiteur « très motivé » choisit de faire le voyage dans un but culturel. [...]
[...] C'est lors de la Première Guerre mondiale que les tours et le donjon seront détruits, par une explosion décidée par l'armée allemande lors de son départ des lieux. Ils jugeaient que ce château était à un endroit stratégique et ne voulaient pas que les ennemis puissent l'utiliser. Les ruines sont aujourd'hui visitables et le château a été inscrit aux Monuments historiques en 1862. De plus, des travaux et des fouilles ont été réalisés. Ils ont retrouvé au terme, les parties inférieures d'une chapelle. Pour l'exemple suivant, nous nous intéressons à la ville de Mossoul qui est la deuxième commune d'Irak. [...]
[...] C'est à partir de 1841 que le tourisme de masse émerge avec les premiers voyages organisés sur le territoire britannique qui voient le jour grâce à Thomas Cook. Il développe son activité en 1851 grâce à la première exposition universelle de Londres, qui permet de générer un flux important de touristes locaux et étrangers dans la capitale. Il créa alors le premier circuit autour de l'Europe en 1855, mis en place le premier « coupon hôtel » en 1868, et ouvert la première croisière sur le Nil. [...]
[...] Dans la période de 1950 à 1975, il y aura une explosion de la consommation et une uniformisation des tendances. Dans les années 1970, les premiers systèmes de réservation à distance apparaissent. Ils sont destinés dans un premier temps, seulement aux compagnies aériennes, leur permettant de gérer les stocks du transport collectif en temps réel. Ce qui permettra ensuite, aux professionnels du tourisme, tels que les agences de voyages ou encore les Tours-Opérators, de pouvoir réserver à distance. Ces systèmes sont les premiers services de commerce électronique pour les professionnels. [...]
[...] (2004), « La qualité de l'industrie du tourisme : un impératif majeur pour un tourisme durable », Téoros n°23, février MORISSET L. K., NOPPEN L. (2003), « Le patrimoine est-il soluble dans le tourisme ? », Téoros n°22, mars, pp. 57-59 MORISSET L. K., NOPPEN L., (2004), « Le patrimoine immatériel : une arme à tranchants multiples », Téoros n°24, janvier, pp. 75-76 MORISSET L. K., NOPPEN L. (2004), « Le touriste et l'urbaniste (première partie) », Téoros n°23, février, pp. [...]
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