Elysée Fourrures, industrie de la fourrure, Canada, exportation de fourrure, ouverture à l'international, marketing luxe, fourrure véritable, fourrure synthétique, traite des animaux, activistes animaliers
Le secteur de la fourrure est, malgré une croyance générale, un excellent exemple d'industrie oeuvrant dans le développement durable des ressources naturelles à l'échelle internationale. La vraie fourrure en plus d'être une substance organique, est une matière mode complètement biodégradable qui peut être recyclée et remodelée. Ainsi toutes les fourrures utilisées se trouvent en abondance dans la nature, aucune espèce n'est donc menacée. De ce fait, la fourrure véritable est davantage écologique que la fourrure synthétique à base de pétrole et de même que les 80 % de vêtements font à partir de matières synthétiques non biodégradables. De plus, le commerce de la fourrure soutient les collectivités amérindiennes du nord qui en dépendent en préservant leurs modes de vie.
[...] Notre compagnie présente également des faiblesses, d'abord la restriction du nombre de fourrures à produire limitant l'offre. En effet, il ne faut pas que l'industrie des fourrures détruise la faune, il est donc tout à fait logique de limiter sa production. De plus, les statistiques ont montré que les consommateurs nationaux sont bien plus adeptes de fourrures synthétiques, et ce pour des raisons de morale, d'éthique, et de prix. D'autres parts Élysée Fourrures ne pratique pas le recyclage des fourrures, en comparaison avec ses concurrents directs. [...]
[...] En voici l'une d'elles : SECTION V IMPORTATION, EXPORTATION ET POSSESSION DE FOURRURES D. 1027-99, a. 28; D. 447-2008, a. D. 1027-99, a. 36; D. 447-2008, a Pour exporter hors du Québec des fourrures non apprêtées provenant d'un animal chassé ou piégé, toute personne, autre qu'un non-résident à l'égard du produit de sa propre chasse, doit être titulaire de l'un des permis prévus à l'article 18 du Règlement sur le piégeage et le commerce des fourrures (c. [...]
[...] On peut trouver certains types de fourrures uniquement au Canada qu'on ne retrouvera pas dans les autres pays : par exemple le lynx blanc qui ne vit que dans le Grand Nord, le climat fait de ce lieu un endroit particulièrement propice aux animaux rares à fourrures. Donc le climat représente un avantage pour nous d'exporter de la fourrure aux pays potentiel, vu les différents types de peaux présents géographiquement. LOIS ET RÉGLEMENTATION Les entreprises canadiennes, comme Élysée Fourrures sont soumises à une réglementation très stricte des gouvernements provinciaux et fédéraux. [...]
[...] Certains pays se concentrent plus à l'élevage des animaux comme le Danemark, la Finlande, et les Pays- Bas,pendant que d'autres se spécialisent dans la confection de vêtements à base de fourrure tels que l'Italie et la France. Le Danemark est un pays avec énormément de notoriété pour ce qui a trait à son élevage d'animaux et la qualité de la fourrure qu'il produit chaque année. En effet, le Danemark prend la peau d'environ 13 millions de visons par année[11]. À lui seul le Danemark exporte environ de vison de chinchilla et de renard[12]. [...]
[...] En effet il existe certaines cultures dans lesquelles le mouvement ÉCO n'est pas aussi implanté et ne revêt pas d'une si grande importance, par exemple la Chine. La Chine quant à elle se trouve être un pays prometteur, d'une part par son climat frais, vers la partie nord-est nous retrouvons des villes comme Pékin; étant donné la croissance considérable de la Chine et la montée en puissance des millionnaires chinois, ce bassin géographique regroupe tous les aspects d'une grande opportunité d'exportations Nous y reviendrons plus tard D'autres parts, les conditions météorologiques de cette année s'avérant hors norme, auraient certaines incidences dans l'industrie de la fourrure. [...]
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