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Depuis la parution du premier volume, Harry Potter à l'école des sorciers en 1997, les aventures de Harry ont été traduites en 60 langues et 250 millions d'exemplaires des cinq premiers romans de la série ont été vendus dans le monde, faisant de son auteur la 3e femme la plus fortunée d'Angleterre, devant la reine Elisabeth II.
Non seulement le petit sorcier a redonné aux enfants le gout à la lecture mais il a aussi promu la lecture en anglais, car les fans les plus impatients de Harry se sont lancés dans la lecture de ses aventures en version originale (la parution en anglais devançant de quelques mois la traduction française).
[...] Nous nous permettons de parler de virus d'Harry Potter car on observe une façon de se propager très particulière. En effet, tout d'abord une personne achète l'œuvre puis, enthousiasmée par son originalité, en fait part à son entourage qui l'achète et ainsi de suite chacun contamine l'autre. Car quand une personne lit un de ces livres, elle saute tous les différents stades de fidélisations d'une clientèle à un produit qui se doit d'être en général constituée d'un suspect allant jusqu'à un client dit ambassadeur Tout ceci pour vous montrer que le client devient immédiatement un client ambassadeur de la marque Harry Potter et va inoculer le virus à une autre personne. [...]
[...] Le phénomène éditorial Harry Potter Sujet : Le phénomène éditorial Harry Potter : quelle stratégie de communication pour la maison d'édition et les canaux de distribution? Le phénomène Harry Potter Depuis la parution du premier volume, Harry Potter à l'école des sorciers en 1997,les aventures de Harry ont été traduites en 60 langues et 250 millions d'exemplaires des cinq premiers romans de la série ont été vendus dans le monde, faisant de son auteur la 3ème femme la plus fortunée d'Angleterre, devant la reine Elisabeth II.fvf Non seulement le petit sorcier a redonné aux enfants le gout à la lecture mais il a aussi promu la lecture en anglais, car les fans les plus impatients de Harry se sont lancés dans la lecture de ses aventures en version originale (la parution en anglais devançant de quelques mois la traduction française). [...]
[...] C'est un phénomène très rare qui à notre sens ne se développe spontanément qu'en présence d'une innovation assez importante ; on pourrait citer quelques produits répondant au même schéma tels que la création de la voiture, de l'avion ou même des nouveaux produits ménagers. Le bouche à oreille est un outil marketing très puissant s' il est contrôlé mais il peut être à double tranchant dans la mesure où grâce à ce buzz on va pouvoir communiquer plus vite que nul autre média, mais c'est son efficacité qui fait sa dangerosité car l'image peut être aussi vite détruite que créée. [...]
[...] Dans ce domaine, il nous parait important de souligner que la maison d'édition de l'ouvrage n'a quasiment pas utilisé la communication Média. En effet, en ce qui concerne le média télévision, il n'y a jamais eu de publicité faisant directement la promotion de quelque ouvrage que ce soit ; pour la radio, il n'y a jamais eu de spot annonçant la sortie prochaine d'un nouveau tome du célèbre Harry Potter ; et pour ce qui est de l'affichage, aucune affiche n'a jamais été imprimée pour faire connaître le petit sorcier. [...]
[...] Il est vrai que les médias traitent souvent des sujets se rattachant aux péripéties de Harry Potter ou de son désormais célèbre auteur J.K. Rowling mais ceci n'a jamais en aucun cas été provoqué par la maison d'édition chargée de faire la promotion d'opus tous plus palpitants les uns que les autres. Tout cela pour prouver que, même si la maison d'édition d'Harry Potter s'efforce de recruter de nouveaux adeptes, elle n'a pas à notre connaissance fait appel à une communication Média qui reste souvent le style de communication privilégié des annonceurs. [...]
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