communication marketing, communication commerciale, Boulangerie et Pâtisserie, influence des médias, médias, communication digitale, Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram, YouTube, storytelling, Phiippe Conticini, Cédric Grolet
Ce mémoire explore l'intime relation entre l'amour et la pâtisserie, soulignée par Bobin (1995), et comment ce lien passionné se reflète dans la communication commerciale du secteur de la pâtisserie artisanale. Cette étude se concentre sur les professionnels en analysant leurs stratégies de communication commerciale comme les tactiques employées pour promouvoir directement ou indirectement leurs produits ou services, que ce soit via des médias traditionnels ou numériques, ou encore par des stratégies de communication push ou pull.
[...] L'approfondissement de cette stratégie, dans le contexte du phygital ou de la réalité augmentée, devrait d'ailleurs constituer le futur proche de la pâtisserie. Avec la transformation de l'environnement et l'invasion de la technologie dans tous les domaines de la vie courante, le phygital sera le compromis idéal pour les pâtisseries, qui resteront ainsi dans la tendance actuelle, tout en ayant la chance de pouvoir conserver leur identité et leur essence première. Bibliographie Morel, J. (2016), Internet est-il un média consulté sur https://www.linkedin.com/pulse/internet-est-il-un-m%C3%A9dia-jimmy [HYPERLINK: https://www.linkedin.com/pulse/internet-est-il-un-m%C3%A9dia-jimmy-morel/]morel/ [HYPERLINK: https://www.linkedin.com/pulse/internet-est-il-un-m%C3%A9dia-jimmy-morel/] [HYPERLINK: https://www.linkedin.com/pulse/internet-est-il-un-m%C3%A9dia-jimmy-morel/]le 6 mars 2020. [...]
[...] Q8 - Quel rôle pensez-vous que les réseaux sociaux jouent dans le monde de la pâtisserie ? Les réponses à ces deux questions ont été exposées plus avant. Les mettre en correspondance nous permet d'affirmer que les consommateurs confirment la tendance actuelle qui les fait être attachés à l'expérience de consommation bien plus qu'à tout autre critère (le prix, les qualités nutritionnelles, etc.) Pour conclure sur cette partie analytique de notre étude, nous pouvons néanmoins souligner les limites de notre démarche : La taille de notre échantillon (136) est relativement limitée et ne respecte pas les conditions édictées par la loi de Bernoulli et permettant d'obtenir un intervalle de confiance à 95% et une marge d'erreur satisfaisante ; néanmoins, les résultats apportés permettent de confirmer ou d'infirmer, toutes réserves gardées, les éléments mis en évidence via la revue de littérature ; Les choix effectués en matière de recueil de données (internet) limitent notre étude à la possibilité de tirer des conclusions sur une partie de la population uniquement, c'est-à-dire celle qui est connectée ; souhaitant mesurer les effets de la communication digitale sur les clients, vous conviendrez que cette limite n'est néanmoins pas rédhibitoire ; Au regard des réponses formulées, nous nous apercevons que nous aurions dû intégrer YouTube au rang des réseaux sociaux proposés aux répondants dans les réponses aux questions, car cette interface génère de nombreuses vues en lien avec le monde de la pâtisserie. [...]
[...] Deuxièmement, la communication préconisée reposant essentiellement sur l'utilisation des réseaux sociaux, il convient que l'entreprise qui la porte soit organisée pour qu'une personne soit en charge de l'animation de ceux-ci. La communication serait vouée à l'échec si le lien construit avec les consommateurs était brisé ou abîmé par un manque de réactivité préjudiciable à la réussite du marketing expérientiel souhaité. Troisièmement, nous sommes conscients qu'il ne s'agit pas uniquement de communication dans notre proposition, mais qu'elle soit s'inscrire totalement dans les éléments constitutifs de l'expérience client telles que les a édictés Hetzel (2002) : Ce n'est donc pas seulement la communication qui doit être efficiente, mais toute la chaîne marketing, dans le respect de ces cinq objectifs : surprendre, proposer de l'extraordinaire, créer du lien, utiliser la marque et stimuler les cinq sens. [...]
[...] Q8 - Quel rôle pensez-vous que les réseaux sociaux jouent dans le monde de la pâtisserie ? Ces quatre questions donnent les réponses suivantes : En croisant ces résultats et les profils des sondés, on peut conclure : Que le réflexe de consulter les comptes de réseaux sociaux des pâtisseries n'est pas immédiat pour les consommateurs lorsqu'ils découvrent une nouvelle enseigne ; Que, parmi ceux qui s'intéressent aux réseaux sociaux des pâtisseries qu'ils fréquentent personnes sur 10 sont capables de citer au moins un réseau social sur lequel est présente leur pâtisserie ; Que Facebook est le vecteur principal de contact avec les pâtisseries sur les réseaux sociaux, même si Instagram tient une place non négligeable dans le paysage numérique ; que le facteur émotionnel (« cela donne envie ») est très puissant dans le rôle que tiennent les réseaux sociaux. [...]
[...] Les cibles La clientèle des commerces de bouche est hétéroclite. Elle se décompose en trois catégories, à savoir la clientèle d'agrément (touristes, familles, groupes d'amis), la clientèle professionnelle (personnes fréquentant les commerces en guise de cantine) et la clientèle corporative (repas collectifs organisés par des entreprises pour leurs collaborateurs et/ou leurs clients). Les objectifs de la communication Les objectifs des campagnes de communication, si l'on reprend les trois objectifs édictés par les modèles présentés plus avant, se situent souvent, dans le domaine des commerces de bouche, sur le plan cognitif, comme l'a souligné Menvielle (2004). [...]
Référence bibliographique
Source fiable, format APALecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture