Analyse Pestel Zara, secteur du prêt-à-porter, secteur de la mode, Inditex, Pull and Bear, Massimo Dutti, Bershka, Stradivarius, mode instantanée, environnement concurrentiel, H et M, Gap, Benetton, main-d'oeuvre
Zara, étant non seulement l'une des plus puissantes entreprises internationales de mode du monde, est aussi l'une des plus grandes marques de prêt-à-porter. Elle détient la troisième place dans l'industrie du vêtement et fait aussi partie des possessions d'Inditex, leader mondial de la production de textiles. Zara compte à ce jour plus de 2 600 points de vente répartis dans 73 pays différents. Son siège, installé à La Corogne en Espagne, dessert plusieurs boutiques dont la première a ouvert ses portes en Espagne en 1975. Le succès qu'a créé la firme Zara rapporte une énorme somme de revenus à sa maison mère Inditex qui possède également d'autres marques de renom telles que Pull and Bear (vêtements pour jeunes), Massimo Dutti (mode et tendance de haute qualité), Bershka (vêtements avant-gardistes), Stradivarius (mode pour jeune femme) et Zara Home (textile ménager). Inditex possède tous les magasins de ventes de la marque sauf dans les pays où ils ne sont pas autorisés à s'implanter.
[...] Chaque nation et son gouvernement n'abordent pas les mêmes points de vue pour les entreprises. Par exemple, tous ne sont pas forcément intéressés par les IDE (Investissements Directs Etrangers). Dans certains pays, les entreprises peuvent se voir refuser l'accès au territoire par le gouvernement, le seul moyen d'intégrer le marché de l'un de ces pays reste de mettre en place un partenariat avec les marques locales. En Chine ou en Inde par exemple, l'administration est un obstacle majeur pour toute entreprise voulant s'y engager. [...]
[...] Le prix de la marchandise varie également en fonction de sa provenance et c'est une chose que Zara ne doit pas mettre de côté. La récession dont nous parlions plus tôt peut aussi à son tour créer de nouveaux défis à surmonter, puisque si une récession advient, les clients, qui auront un revenu plus étroit, ne feront pas passer la mode en premier lieu et consommeront donc moins dans la période qui suivra. D'un autre côté, l'inflation dans les pays les moins développés dans lesquels Zara possède des entreprises ou des points de vente peut développer une nouvelle obstruction, car les bénéfices originalement prévus pourraient s'avérer inférieurs. [...]
[...] L'entreprise est soumise à de nombreuses forces sur le marché international et pour démontrer ceci, nous allons faire une analyse PESTEL pour comprendre à quelles forces une marque de mode doit se confronter dans le monde des affaires. Intéressons-nous à ces forces et comment elles affectent les affaires de l'entreprise Zara. Tout d'abord, PESTEL est l'acronyme de Politique, Economique, Social, Technologique, Environnemental et Légal. Son champ d'action est très large et son impact sur les entreprises est très important. C'est pour cela qu'en faisant une analyse PESTEL de l'entreprise Zara, nous pourrons comprendre comment ces forces peuvent affecter les entreprises. II. Analyse PESTEL A. [...]
[...] L'entreprise a une part énorme dans le marché et propose une large gamme de produits différents donc il est fort peu probable qu'il y ait un quelconque changement social pour cette société consommatrice. Néanmoins, l'entreprise doit toujours s'inquiéter de répondre aux demandes du consommateur et donc doit travailler sur les tendances et leurs évolutions afin de les prendre en compte dans les temps et de proposer aux clients les produits actuels. Pour revenir sur la stratégie d'expansion internationale de Zara, l'entreprise prend en compte les différences culturelles de tous les pays où elle souhaite s'implanter et évoluer. C'est aussi là que se situe la base de son plan de marketing. [...]
[...] En une action, Zara augmenterait son chiffre d'affaires et éliminerait de la concurrence. Cette stratégie de prix raisonnable aide également à réguler le chiffre d'affaires lors des périodes de faible activité économique, dont le monde est encore aujourd'hui secoué. La récession en 1992 a profondément impacté les marques au point de rendre leur situation financière moins stable. Les bénéfices des marchés étaient réduits, c'est ce qu'on appelle le dollar plus fort. Par acheminement, la baisse de l'activité économique impacte et réduit le pouvoir d'achat des clients qui dépensent moins soit par choix soit par obligation et tout cela sensibilise le poids des ventes de produits sur le marché. [...]
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