Fondée en 1884, Mark&Spencer est une entreprise vieille de plus de 2 siècles. L'origine de sa renommée et plus tard de son développement est issue d'une situation bien particulière vécue en Angleterre à la fin du 19 ème siècle. Très rapidement, M&S a su se positionner comme une référence solide sur le marché du vestimentaire en Angleterre. Conscient de ce succès et aspirant à un développement plus large, les dirigeants de l'époque ont voulu appliqué le concept de grands magasins à leur entreprise, tout en conservant la notion de savoir faire industrielle dans leur gammes. Aujourd'hui, M&S doit faire face à un recul récurant de ses ventes vestimentaire en raison d'une mauvaise compatibilité entre son appareil productif et les exigences du marché.
De l'autre coté, Inditex est une entreprise bien plus récente. Le premier magasin de la marque Zara naît en 1975 en Espagne. L'état d'esprit de ses dirigeants est tout à fait novateur et semble bien adapté aux exigences du marché. Renouvellement rapide des gammes et prix réduits. Cet état d'esprit se reflète dans toute la structure productive de la marque. En effet, les dirigeants mettent au point une chaîne de valeurs efficace, rapide et non bureaucratique. Aujourd'hui, Zara est une marque leader sur le marché européen du vestimentaire.
[...] L'état d'esprit de ses dirigeants est tout à fait novateur et semble bien adapté aux exigences du marché. Renouvellement rapide des gammes et prix réduits. Cet état d'esprit se reflète dans toute la structure productive de la marque. En effet, les dirigeants mettent au point une chaîne de valeurs efficace, rapide et non bureaucratique. Aujourd'hui, Zara est une marque leader sur le marché européen du vestimentaire. Mais une volonté commune d'internationalisation Un des points forts de la stratégie de M&S est sans doute l'internationalisation. [...]
[...] Ici encore, cela dépend de la stratégie de chaque entreprise. Une entreprise qui privilégie la vente dans les grandes surfaces ne peut évidemment pas s'implanter en plein centre-ville car elle ne disposerait pas de l'espace suffisant et cela lui reviendrait trop cher. Elle doit s'implanter plus en périphérie de la ville. Par contre, pour une entreprise qui vise une clientèle particulière et qui décide de commercialiser ces produits dans un petit lieu de vente, l'emplacement doit nécessairement se situer dans un emplacement stratégique tel que le centre-ville. [...]
[...] Les Italiens ont perdu emplois en deux ans et pourraient en perdre autant dans quelques mois. Plus qu'une concurrence nouvelle, ce sont les copies et la contrefaçon de leurs marques de renommée internationale qui les inquiètent. Pour se protéger, la filière voudrait une étiquette qui valorise auprès du client le pays dans lequel le vêtement est fabriqué. Peine perdue, répondent les Français : qui regarde l'étiquette avant d'acheter un vêtement ? 2 - Analyse de la demande dans l'industrie de l'habillement La demande de l'industrie de l'habillement est presque inépuisable, et c'est notamment vrai dans l'ensemble des parcelles de la planète dites civilisées dans la mesure où l'habillement, en économie, relève des besoins dits secondaires également appelés besoins matériels. [...]
[...] 1er janvier 2005 la totalité des échanges mondiaux de textile est libéralisée. A partir du 1er janvier 2005, le système des quotas qui, pendant trente ans, a régi le commerce mondial du textile (169 milliards de dollars) et de l'habillement (226 milliards de dollars) va être supprimé. Une mesure qui laissera libre cours aux exportations d'articles fabriqués en Chine et en Inde vers les 148 pays membres de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Le démantèlement de l'Accord sur les textiles et les vêtements a été approuvé en 1994 mais, entre-temps, Pékin a fait son apparition dans le commerce mondial, en adhérant en 2002 à l'OMC. [...]
[...] Il n'y a nullement besoin d'ajouter à cela un risque supplémentaire en terme de produits substituts dans la mesure où le vêtement n'est pas substituable en soi par quelqu'autre objet. L'industrie du vêtement rejoint donc sur ce point l'industrie des téléviseurs Le pouvoir de négociation des fournisseurs En termes de pouvoir de négociation des fournisseurs, le secteur de l'habillement revêt des caractéristiques qui lui sont propres. A ce titre, le poids des pressions sur les prix exercés par ceux-ci est à relativiser tant l'importance des contrats signés est grande. [...]
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