Matrice BCG de Zara, Amancio Ortega Gaono, Rosalia Mera, secteur du prêt-à-porter, marché du textile, groupe Inditex, exportation, e-commerce, stratégie d'expansion de la marque, H et M, Gap, Mango, concurrence de Zara, Massimo Dutti, Zara Home, Stradivarius, Pull and Bear, Bershka
Une matrice BCG est un outil stratégique permettant d'évaluer l'équilibre du portefeuille d'une entreprise. Cet outil d'analyse a été créé par Bruce Henderson au XXe siècle et est notamment utilisé pour vérifier qu'une entreprise est viable économiquement parlant. Elle prend pour cela en compte deux critères distincts : le taux de croissance du marché et la part du marché de l'entreprise. Pour le premier critère, on le mesure par rapport au passé à partir de données déjà connues, ce taux une fois calculé permet de juger le dynamisme de l'activité de l'entreprise. Le deuxième critère pris en compte (la part du marché) est, quant à lui, calculé, mesuré par rapport à son principal concurrent. Puis, une fois que les deux mesures sont calculées ; le modèle BCG est alors établi et permet de situer, sur une matrice, l'activité de l'entreprise.
Ici, nous allons nous intéresser à la matrice BCG de la très célèbre marque de prêt-à-porter Zara. Cette entreprise a été créée en 1975 par Amancio Ortega Gaono et Rosalia Mera, son épouse. La chaîne Zara appartient au groupe Inditex (abréviation de Industria de disemo Textil) dont font aussi parties les marques Massimo Dutti, Zara Home, Stradivarius, Pull and Bear ou bien encore Bershka.
[...] Ce mouvement contestataire que l'illustratrice a lancé en juillet 2016 a poussé d'autres artistes à exprimer leurs aventures similaires avec la marque. Certains internautes se sont ainsi amusés à montrer les différents plagiats de Zara reprenant quelques fois quasiment à l'identique le travail d'artistes, de designers. Ces plagiats ternissent un peu l'image de la célèbre marque Zara et peuvent pousser les consommateurs à acheter plutôt les modèles originaux créés par de petits créateurs, artistes plutôt que d'acheter directement chez Zara. [...]
[...] Pour en être là où elle est aujourd'hui, il apparaît évident que la marque comptabilise plus d'avantages, de points forts que de faiblesses. Cependant, il ne faut pas oublier ces dernières, car, si elles étaient corrigées, elle permettrait à la marque de redorer son image qui a pu être quelque peu ternie par ces faiblesses. Nous allons ici nous intéresser à quelques « scandales » qu'il y a pu y avoir autour de la marque et qui ont pu faire baisser son chiffre d'affaires. [...]
[...] On parle donc de « vache à lait » d'une entreprise. Pour ce qui concerne Zara, les produits considérés comme étant ceux qui rapportent le plus permettent à la marque d'avoir une réelle emprise sur le marché et lui permettent de garder sa place de leader mondial. Les vêtements proposés par la gamme de Zara « Trafaluc » (vêtements un peu moins chers que les articles Zara classiques), les jeans, mais aussi les chaussures peuvent être considérés comme étant les vaches à lait de la marque Zara. [...]
[...] Ici, nous allons nous intéresser à la matrice BCG de la très célèbre marque de prêt-à-porter Zara. Cette entreprise a été créée en 1975 par Amancio Ortega Gaono et Rosalia Mera, son épouse. La chaîne Zara appartient au groupe Inditex (abréviation de Industria de disemo Textil) dont font aussi parties les marques Massimo Dutti, Zara Home, Stradivarius, Pull and Bear ou bien encore Bershka. Le groupe possède donc une grande partie des enseignes de prêt-à-porter les plus populaires aujourd'hui. La société possède d'ailleurs une côte en bourse dont la famille fondatrice en détient Zara, enseigne qui possède son siège social en Espagne, à La Corogne, s'est développée dans beaucoup de pays au monde et reste, encore aujourd'hui une des marques les plus célèbres et les plus appréciées. [...]
[...] Cela lui permet de ne pas perdre trop d'articles en cas d'échec d'un produit. En effet, si un produit ne plaît pas à la clientèle et ne se vend donc que peu, au regard du faible nombre de ce même article produit ; la perte ne sera que peu importante. Le taux d'erreur quant aux articles produits par la marque est estimé à seulement Chiffre très faible si on le met en comparaison avec le pourcentage de taux d'erreur de ses principaux concurrents : Cette stratégie pour laquelle Zara a opté qui fait que l'enseigne ne produit que peu d'articles présente un autre avantage : la fidélisation des clients. [...]
Référence bibliographique
Source fiable, format APALecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture