Marché de l'habillement milieu haut de gamme, marché du textile, distribution française, dépenses d'habillement, quotas de production, Chine, habitudes de consommation, prix, soldes, promotions
Au cours de ces vingt dernières années, le marché du textile a connu de profonds bouleversements. Des pays comme la Chine ou le Maroc (pays dans lesquels la main d'œuvre est bon marché) sont les causes principales de ce bouleversement. Mais aussi des facteurs comme l'augmentation des coûts (matières premières ou coûts de production) ont également joués un rôle important dans ce changement. Les petits détaillants disparaissent peu à peu et de plus grandes entreprises font alors leur apparition : les enseignes spécialisées. Les enseignes de l'habillement comme BCBG MAXAZRIA pour le prêt-à-porter féminin représentent aujourd'hui 40,6% du marché de l'habillement mondial contre 18,7% en 1990. Elles se sont donc imposées face aux détaillants indépendants et à la grande distribution.
[...] En 2004, le coefficient budgétaire alloué à l'habillement est passé de à 4,1%. La multiplication des soldes et promotions ne fait plus recette : d'après une étude Credoc, la fréquentation des magasins lors des soldes est en baisse même si les soldes restent un rituel social fort. Par exemple : en des personnes disaient attendre les soldes pour s'habiller. En 2005, la proportion est descendue à 62%. D'après les analyses, ce phénomène est dû à la possibilité d'acheter moins cher qui n'est plus limitée aux périodes des soldes réglementées. [...]
[...] Clientèle cible de la marque : Les cadres supérieures âgées entre 30 et 45 ans. D'après les études menées par le service marketing de la société, il y a une attente de plus en plus forte des clientes, la marque conserve sa renommée et possède un univers concurrentiel stable. La marque est souvent perçue comme trop chère et on assiste à une perte d'identité (d'où la comparaison de prix avec d'autres marques dont le positionnement est différent et donc en sa défaveur). [...]
[...] Les acheteurs stockent et achètent moins souvent, mais plus d'articles d'un seul coup. Ceci peut expliquer la baisse du nombre d'articles achetés (fréquence d'achat textile en France par foyer passe de 21,1 achats en 2002 à 19,5 en 2006). Ces changements du mode de consommation ont un impact négatif sur la somme allouée aux achats textiles. Ainsi en moyenne par foyer, les consommateurs dépassent soit de moins qu'il y a 4 ans. La clientèle ne consomme plus de la même façon et, dans ce contexte, on constate que la loi des extrêmes s'applique : - Soit les consommateurs ont un fort pouvoir d'achat et sont attirés par le secteur du luxe en voulant privilégier la qualité du produit. [...]
[...] Sources : service marketing de la société BCBG MAXAZRIA * Sources : Direction financière de la société BCBG MAXAZRIA. [...]
[...] Les petits détaillants disparaissent peu à peu et de plus grandes entreprises font alors leur apparition : les enseignes spécialisées. Les enseignes de l'habillement comme BCBG MAXAZRIA pour le prêt-à-porter féminin représentent aujourd'hui 40,6% du marché de l'habillement mondial contre 18,7% en 1990. Elles se sont donc imposées face aux détaillants indépendants et à la grande distribution.[1] 1.1 Le marché et son évolution[2] Le marché français de l'habillement est évalué, en valeur, à 38,1 milliards d'euros en 2005. Le prêt-à-porter constitue près de la moitié des ventes de vêtements femmes. Ce marché est dominé par les ventes féminines. [...]
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