Le secteur du développement de photos en ligne

Extraits

[...] La plupart des consommateurs, soit 41% développent leurs photos touts les 2 ou 3 mois. Ensuite d'entre eux le font tous les 6 mois. Pour 12% des répondant à cette étude réalisée par i-Analys, ils ne développent leurs photos que tous les mois. Les 18% restant le font moins d'une fois par mois. Les non consommateurs relatifs : Selon l'étude d'i-Analys les non consommateurs relatifs peuvent se segmenter en trois catégories : Ceux imprimant les photos à leur domicile des sondés par i-Analys Ceux qui font développer en magasin 28% des sondés par i-Analys Toujours selon cette étude des sondés déclarent ne jamais développer leurs photos. [...]

[...] En 2005 elles étaient 62% à utiliser un appareil numérique contre 29% en Technologique Le niveau de croissance énorme du marché de développement des photos en lignes est du aux nouvelles technologies comme le haut débit qui en mai 2006 est présent dans plus de 16.8 millions de domiciles, ce qui représente de la population d'internautes à domicile. Ce haut débit permet aux personnes d'accéder plus facilement au secteur des photos en lignes. Cette croissance est aussi due au fort développement des appareils numérique avec une capacité de stockage de photos énorme qui incite de plus en plus de personnes à acheter ces appareils. [...]

[...] Les principaux acteurs traditionnels : Photo Service. Réseau de magasin créé en 1980, s'est très vite positionné sur le net puisque depuis 1999 il propose un service de tirage de photos en ligne. Ne pouvant fonder sa stratégie sur les prix, Photo Service a choisi de jouer sur l'avantage concurrentiel du multi canal. En effet ce sont les seuls à proposer un service Internet en 1 heure. Cela permet à clients de venir chercher dans l'un des 280 magasins du réseau les photos mises en ligne 1 heure avant. [...]

[...] Cela a été très préjudiciable pour les acteurs traditionnels, qui ont dues essayer de rivaliser. En 2000, un tirage photo se situait aux alentours de 1 franc (soit environ 15 centimes d'euros) alors que de nos jours il est proposé chez certains à 4 centimes d'euros. Le but de cette politique de prix de pénétration est donc de miser sur le volume et de gagner des parts de marché afin de compenser cette baisse de prix La concurrence au niveau du secteur. [...]

[...] Le phénomène de photophone consistant à prendre des photos avec des téléphones mobiles ne contribue pas à l'augmentation de la demande du marché car dans 80% des cas ces photos ne sont pas développées. [...]