Stratégie de développement d'une association humanitaire : Aide sans frontières

Extraits

[...] Communication : des dons sont fait par le bouche à oreille. Toute la communication réalisée est faite sur des supports ou l'espace est à prix réduit ou bien gratuit comme par exemple : la presse ou l'association n'a que a payé les frais de conception, l'affichage. Il n'y a donc pas de vraie stratégie de communication visant le cœur de cible car ces opérations là visent n'importe qui. Diagnostic Interne : PROBLEMATIQUE : Comment améliorer son image et sa communication pour approcher d'autres donateurs potentiels, tout en gardant sa politique actuelle ? [...]

[...] De plus, vendre en trop grande quantité et sur toute l'année limiterait la crédibilité de l'association, ce n'est pas la manière de récolter le plus de dons possibles et les gens ne feront que des petits dons, sans savoir réellement à quoi l'argent dépensé servira. C'est pourquoi, l'association doit à tout prix continuer ses envois de mailing etc. Prix : au niveau des dons, la stratégie que l'association à mise en place depuis sa création est la bonne, il faut donc absolument la garder. Des dons suggérés, ni trop bas ni trop élevés, en rappelant au donateur à quoi cela correspond concrètement dans le projet. [...]

[...] La vente de produits commerciaux impliquerait les inconvénients suivants : Limite la crédibilité Le donateur à l'impression de faire un petit don qui ne sera que très peu utile. Manque de confiance Le donateur ne sait pas ou va atterrir son argent, il ne peut mettre d'image à son don. Retour sur investissement Action qui ne peut être rentable que s'il y a une grosse quantité de donateurs. Réseau de distribution L'organisation devrait augmenter sa force de vente ce qui engendrait des couts supplémentaires. A partir des annexes, peut-on trouver un don psychologique optimal autour duquel la prochaine campagne de collecte de fonds pourrait être organisée ? [...]

[...] L'association se ferait, de ce fait, mieux connaitre auprès d'une nouvelle cible et pourra ainsi récolter d'autres dons. Pour les produits dérivés, l'association pourrait organiser des campagnes à différentes périodes clés de l'année : par exemple à la rentrée scolaires pour vendre des trousses, cahiers et stylos à l'effigie de l'association. Ou bien pendant la période des fêtes de fin d'années en commercialisant les cartes de vœux ou des calendriers. Enfin, l'association pourrait organiser des collectes dans les centres commerciaux, comme le font déjà certaines associations, en récoltant des denrées alimentaires, ou même des trousses, cahiers etc. [...]

[...] Les budgets de ses ONG varient fortement, plusieurs dizaine de millions d'euros (Médecins sans Frontières par exemple) à moins de 50 000€. Même constat pour le nombre d'employés permanents et le nombre de bénévoles. 1/3 des actions menées par les ONG française sont en Afrique, suit l'Asie des budgets des ONG), les pays de l'EST puis l'Amérique latine et les caraïbes - La clientèle : tout le monde peut être donateur car les causes humanitaires sont l'affaire de tous. Cependant on peut comprendre qu'une personne au chômage, qu'une famille nombreuse avec des difficultés financières ou bien des ménages aux revenus modestes ne soient pas très généreux Après l'étude des profils de consommateur, et les réponses de la question 1 on remarque que les plus grands donateurs sont des femmes entre 26-34 ans cadre moyen vivant dans des villes de plus de habitants plutôt en Ile-de-France et qui font environs 3 dons par an d'un montant se situant entre 30 et Les plus jeunes ne sont pas ceux qui feront le plus de dons, ni les inactifs ou les retraités. [...]