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La question qu'on se pose alors est de savoir comment déterminer cette valeur. Cette problématique est d'autant plus importante sachant que nous vivons aujourd'hui dans une société basée de plus en plus sur les valeurs immatérielles. Pour répondre donc à cet enjeu d'actualité nous nous intéresserons, dans un premier temps, à la notion de marque qui est au coeur de notre analyse et dont la compréhension semble nécessaire pour la poursuite de cette étude. Ensuite, dans un second temps nous verrons les différentes méthodes qui nous permettent d'évaluer la valeur d'une marque.
[...] En fait, dans tous les domaines, le nom du créateur est souvent la marque de son activité ou de sa production. Quelquefois, une légère variation est apparue : les articles Bic ont perdu l'H final du patronyme du baron Bich, Lipmann est devenu LIP. LU provient de Jean- Raymond Lefevre et Pauline Isabelle Utile. Daimler a préféré pour ses voitures le nom de sa fille Mercedes et le créateur de la marque de chaussure André celui de son fils. Nom ayant un contenu signifiant Les matières premières ont parfois pu inspirer la création d'une marque : l'Air Liquide, Coca-Cola, Orangina, la Vache qui rit, Aspro. [...]
[...] La marque n'a donc plus pour simple fonction d'identifier nos produits, il s'ensuit que l'on peut se poser la question de savoir ce qu'est une marque. Certains, pour qui la marque est un logo, une campagne de pub, un actif au bilan, se retrouvent souvent dans l'impossibilité de l'exploiter et d'en tirer les fruits, alors que d'autres ont des clients fan qui sont souvent leurs meilleurs ambassadeurs. Ce sont ceux pour lesquels la marque représente une éthique, des actions entreprises pour créer des relations privilégiées avec les clients, la manière de penser des salariés . [...]
[...] De telles initiatives confiées à des responsables dotés d'une certaine indépendance d'action constituent, dans bien des cas, la meilleure protection que l'on puisse offrir au consommateur au sein même de l'entreprise. Ceci implique également que les consommateurs puissent entrer en relation directe avec les marques. D'où le développement des numéros verts, des services Minitel et Internet. Patrimoine de l'entreprise Le capital des entreprises réside de plus en plus dans les marques qu'elles possèdent. Longtemps, on a mesuré la valeur d'une entreprise à des immeubles ou terrains, puis à ses actifs matériels, usines et machines enfin à la compétence de ses ressources humaines. [...]
[...] Newman en 1933 a classé les consonnes de la plus limpide à la plus obscure dans l'ordre suivant : k s l h p j n g b r d m. En combinant les deux, on peut s'amuser à créer un mot résolument clair, LISEKI ou un autre, résolument sombre, RADOUMO. Plus encore que les jeux phonétiques, s'il n'est pas indispensable que la marque nouvelle soit porteuse de sens, il est en revanche essentiel, lorsqu'il s'agit d'une marque internationale, qu'elle n'induise pas de contre-sens dans certaines langues. [...]
[...] Avec la Révolution industrielle, les échanges s'intensifient. La fonction commerciale, qui était jusqu'alors la préoccupation exclusive des marchands, devient également celle des industriels, toujours à la recherche de nouveaux débouchés. Les premières formes de publicité apparaissent ainsi que les premières marques modernes : le briquet de sûreté de Phénix en 1825, les bougies de l'Etoile en 1831, l'eau de Botot en 1840. Mais la marque n'est encore le fait que de quelques précurseurs : elle se cantonne à un rôle de signature. [...]
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