Représentant d'entreprise, vente de téléphones fixes sans fil, marché français, marché suisse, marché espagnol, rendement des représentants, entreprise
Bien que le marché français soit en période de croissance, nous perdons quelques parts de marché - 0.4 %. Cela peut s'expliquer à travers plusieurs éléments. Le prix de vente HT a diminué de 0.40€, mais le budget communication à quant à lui fondu, il a perdu 60K€. De plus, cette diminution de prix de vente n'était pas justifiée, car nous étions déjà les moins chers sur le secteur et nous savons que la sensibilité au prix sur ce marché n'est pas très importante. La qualité du produit, ainsi que la perception de l'image de la marque a donc baissé aux yeux de nos clients actuels et potentiels. Notre politique de prix et notre politique de communication n'a pas été en phase avec le marché et avec les attentes des consommateurs. Bien que cette perte de soit pas dramatique, nous devons être très vigilant pour ne pas faire les mêmes erreurs.
[...] Cela passe part une diminution du facteur capital qui était trop importante 17 licenciements et environ 2 voir 3 démissions de prévues) mais aussi part l'amélioration et l'augmentation du facteur travail. Pour cette période, nous avons baissé notre marge sur coût direct 3.04 au total) et augmenté notre coût de production 1.61 sur toutes les zones et nous avons revu légèrement à la baisse nos ventes par rapport à la période 4 (à cause du commencement de la crise) . [...]
[...] Visiblement nos salaires et notre budget de formation furent quand même bien trop faibles, le nombre de démissions le montre. L'effectif productif par machine avait légèrement baissé, mais est resté plus que correct : Par contre, notre rendement constaté a lui augmenté : Cette augmentation du rendement couplé à d'heures supplémentaires nous a permis d'arriver à produire ce que nous voulions La gestion des conflits Les seuls conflits que l'on peut noter sont trois démissions certainement dues à des salaires légèrement inférieurs à la moyenne des concurrents. [...]
[...] Les chiffres montrent que nos dépenses ont été augmentées judicieusement afin de maintenir une augmentation du profit. B. Analyse du bilan Malgré un fort investissement en machine, nous avons pu continuer à réduire le taux d'endettement grâce à d'autres multiples ressources (ventes de machines, augmentation de capital et l'encaisse de la P3) et part la même occasion maximiser le profit et donc augmenter de notre situation nette. C. Analyse globale Pour cette période qui est réellement notre deuxième période, de nombreuses actions ont été mises en œuvre afin de corriger des erreurs (notamment sur la gestion du stock, la gestion des salariés et des représentants) mais il reste encore à voir en particulier sur ces trois points. [...]
[...] C'est pour cela que nous avons dû baisser nos coûts par rapport à la concurrence, mais aussi à cause de la tendance du marché (afin de s'aligner) tout en essayant de garder une certaine marge. Comme nous pouvons le voir ci-dessus, nous voyons que ce tableau reflète notre hausse de charge sur les produits, ce qui nous permet d'avoir un coût de matière par produits de plus en plus faible, cela signifie alors que nous produisons de moins en moins cher. [...]
[...] Les représentants 1. Les effectifs Face à la conjoncture actuelle et future, et de notre taux de probabilité de contact correct en France et en Suisse et en progression pour l'Espagne, nous avons décidé de ne pas embaucher d'autres représentants cette période afin de minimiser nos coûts, qui serait de plus inutiles dans cette situation Les commissions Au niveau des commissions, depuis la période nous ne souhaitions pas trop investir, car nous préférions embaucher en gardant la même commission afin de réduire nos coûts, mais avec la baisse de la demande nous avons voulu changer notre stratégie en augmentant de façon considérable notre commission afin de voir une évolution positive sur nos parts de marché. [...]
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