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Cette démarche nécessite également de s'intéresser à un autre schéma organisationnel bien huilé, tout aussi complexe : la franchise. De plus en plus choisit, il semble que cette option de comportement connaît des retours positifs. Par ailleurs, cela ne l'est-il pas aux dépens de certaines crises successives ? (...)
[...] Il sera alors plus judicieux de parler de quasi- intégration verticale. 4. Quelles sont les motivations à adopter ce comportement et quels en sont les aboutissements ? Au mode de fonctionnement complexe, l'intégration verticale est un réel alourdissement pour l'entreprise qui l'utilise, en terme de frais et d'investissements : besoins en mains d'œuvre, en consommations d'énergie, etc. Cela dit, la première façon d'expliquer une volonté d'intégration est l'opportunité de réaliser ou d'augmenter un profit de monopole. Dans ses études, l'économiste américain, Olivier Williamson s'intéresse à la quasi-intégration en tant que forme intermédiaire à l'extermination[20] et l'internalisation[21]. [...]
[...] Que l'on se trouve dans un Buffalo Grill à Lille ou bien à Marseille, les prix du menu ne changent pas. L'exclusivité territoriale : le franchisé ne peut vendre ses produits en dehors de la zone contractée. Dans les années 1980, certains débats se sont ouverts autour de la franchise. La problématique était de savoir si, oui ou non, la franchise, via les restrictions verticales était une atteinte à la concurrence. Encore aujourd'hui les avis divergent et malgré les comptes rendus des hautes instances nationales et européennes, les grands économistes restent perplexes à ce sujet. [...]
[...] Quel est le rôle des politiques gouvernementales ? Performances du groupe P.19 CONCLUSION P.20 BIBLIOGRAPHIE P.21 INTRODUCTION Il semblerait qu'il n'existe pas de schéma parfait pour délimiter les frontières optimales d'actions d'une entreprise donnée. Si l'entreprise cherche avant tout à réaliser sans cesse un profit en plein essor, il convient de déterminer à quel moment celle-ci jugera qu'il est plus rapide et moins coûteux de produire elle-même ce dont elle a besoin plutôt que de devoir faire appel au marché. [...]
[...] L'IHH : L'indice de Herfindal Hirschman. Il permet d'analyser le pouvoir de marché et la concurrence entre les entreprises rivales. On le calcule en effectuant la somme des carrés des parts de marché de l'ensemble des entreprises du secteur. Si l'IHH est inférieur à 1000 : la concentration du marché est faible ; S'il tend vers 0 cela signifie qu'il y a beaucoup de firmes en présence qui se partagent très peu de parts de marché (cf : modèle de concurrence pure et parfaite) ; S' il est compris entre 1000 et 1800, la concentration du marché est moyenne et s'il est supérieur à 1800: la concentration est élevée. [...]
[...] D'après une étude faite par un journal indépendant il semblerait qu'un repas sur deux pris hors foyer soit consommé à moins de 10 euros TTC (boissons comprises), que le temps de consommation hors foyer toutes formules confondues est passé de 1 heure 38 en 1975 à 40 minutes en 2003, que les repas du midi en semaine (hors foyer) représentent 70% du total des repas consommés hors domicile et que les quatre services du week-end pèsent 50% du chiffre d'affaires hebdomadaire de la restauration. Par ailleurs, nous avons pu constater qu'un repas sur cinq hors domicile était consommé dans un restaurant de chaîne[2] ; du déjeuner d'affaires à la sortie en famille, en passant par le dîner entre amis, toutes les cibles se rencontrent. Qu'en ait-il des substituts ? L'Europe se développe dans un état palpable de stress et de pressions ; nous l'avons vu, les français ont tendance à ne plus prendre le temps de déjeuner. [...]
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