Transport routier de voyageurs, transport de personnes, analyse SWOT, analyse de Porter, matrice McKinsey, concept, analyse Pestel, stratégie de développement, plan de financement, business plan, taxi, bus, services et transports, SARL M.D, TRANS GB
J'ai intégré le Master Affaires Internationales parcours Marketing International dans le but de consolider mes connaissances et d'ancrer mon savoir-faire dans des domaines variés.
De plus, de nature curieuse et entreprenante, je désire par la suite reprendre ou créer moi-même mon activité.
J'ai donc eu l'opportunité de pouvoir réaliser un mémoire en rapport avec mes ambitions et acquérir les méthodes de recherche ainsi que les savoir-faire nécessaires à la création d'entreprise.
Le but de ce mémoire est d'étudier un marché existant afin de préparer le terrain pour le lancement de notre projet. Pour traduire notre idée par des mots couchés sur le papier nous avons défini, développé et affiné nos envies. Par la suite, nous nous sommes plongés dans le montage de cette « entreprise », au sens large du terme, point par point, petit à petit.
Ce dernier consiste en la création d'une entreprise de transport routier de voyageurs dans l'agglomération Dunkerquoise. Cette recherche d'informations et cette analyse nous permettront de juger la rentabilité de cette activité.
Ce secteur d'activité est caractérisé par des clients désirant se déplacer au moindre coût, dans les meilleurs délais, et cherchant le maximum du confort.
Certes, la concurrence existe, mais la demande reste importante car les besoins ne cessent d'augmenter dans un marché où l'offre est insuffisante pour combler la demande.
Nous verrons à travers cette étude une idée plus précise de ce secteur et ses caractéristiques propres, nous facilitant ainsi la conduite de notre projet (...)
[...] Cependant, beaucoup d'associations sont sur ce champ compte tenu de l'ampleur des besoins. Nous avons constaté également que l'accompagnement doit être personnalisé : les personnes âgées n'aiment pas les transports groupés ou en navettes. Il faut faire la tournée des prescripteurs : Professionnels de la santé, de l'action gérontologique, associations locales. Sur ce champ, la concurrence est déjà réelle, les AOTU (autorités organisatrices de transport urbain) ont souvent déjà passé des conventions et procédé à une délégation de service public en faveur des grands opérateurs de transport. [...]
[...] La zone verte représente des situations d'attrait moyen. La règle est le statu quo. La zone jaune (ou bleue pâle) représente des situations de peu d'intérêt. Il faut alors probablement récolter avant d'abandonner. La surface des cercles est proportionnelle à la taille du secteur, et la partie colorée représente la part de marché de l'entreprise. Les flèches représentent la position attendue de chaque DAS à moyen terme (3-5ans). La Matrice McKinsey donne des réponses stratégiques générales mais ne donne pas de stratégie marketing. B. [...]
[...] Une entreprise crée un produit ou un service pour assurer une fonction répondant à une demande du client. Si l'offre est bien adaptée à la demande, l'entreprise fait du profit. Pour les entreprises, l'enjeu à venir est le développement des modes de transports sans polluer la planète. Les biens et les personnes doivent rester accessibles et disponibles. Il reste à trouver des modes de transports non polluants qui vont assurer une véritable mutation et contribuer au renversement des tendances. L'objectif principal donc est de réduire les coûts et protéger l'environnement. [...]
[...] Ces transports sont soit individuels ou ce sont des navettes régulières avec circuit de ramassage, voire des sorties de groupe, par exemple une excursion pour les pensionnaires d'une maison de retraite, dans un minibus de 9 places. Il peut s'agir de TAD, transport à la demande. Transports de confort : par exemple : le covoiturage, les voitures de grande remise : ce type d'activité se distingue de la petite remise dans la mesure où ils ne s'adressent pas à tous les usagers, mais à une clientèle de luxe. [...]
[...] Il s'agit donc du niveau d'activité qui permet, grâce à la marge réalisée (différence entre le niveau des ventes et les charges variables découlant implicitement du chiffre d'affaires) d'avoir les moyens de payer toutes les autres charges de l'exercice, c'est-à-dire les charges fixes. Calcul du point mort (ou "seuil de rentabilité") Après avoir calculé tous les éléments précédents, on peut définir le seuil de rentabilité grâce au compte de résultat différentiel ci-dessus. Le seuil de rentabilité permet de savoir à partir de quel niveau de chiffre d'affaires, notre activité sera rentable. En divisant par 15 (prix d'une course) on obtient Il va donc falloir effectuer 1047 courses pour ne pas enregistrer de pertes. [...]
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