Etude du marché de la confiserie, confiserie au Mexique, Amérique latine, stabilité économique, secteur des produits alimentaires, ALENA, concurrence locale, Mars, Cadbury, chocolat Hershey's, concurrence étrangère, importations, bonbons à base de sucre, groupe Corvi, Dulces Vero
Le Mexique est le pays d'Amérique latine ayant le revenu par habitant le plus élevé, ce qui en fait un pays à revenu intermédiaire. Ce pays jouit actuellement d'un système politique et économique plus ouvert, ainsi il s'intègre mieux à l'économie mondiale. Grâce à sa stabilité économique depuis quelques années et à une amélioration de la répartition des revenus, une hausse de la demande de produits alimentaires a pu être enregistrée, à un rythme élevé.
Avec la libéralisation des échanges, l'offre des produits alimentaires sur le marché mexicain est radicalement transformée, et la demande des consommateurs, elle, modifie rapidement la structure du secteur des produits alimentaires. (...)
[...] Sur le marché des confiseries on observe deux tendances répondant chacune à une demande. Les Etats-Unis exportent les confiseries et chocolats de bas de gamme en direction du Mexique, alors que les chocolats haut de gamme et chers viennent directement d'Europe. Des marques telles Ferrero sont positionnées sur des segments de produits à prix relativement élevés, jouant sur le modèle européen et tout ce que cela englobe. Ferrero est aussi accès sur des segments de confiseries peu chères avec des produits comme les barres chocolatées. [...]
[...] Au Mexique, la publicité liée à un produit relève habituellement du fournisseur plutôt que du détaillant. Afin de capter le regard et l'envie du consommateur, il faut s'appuyer sur divers points-clés très importants : utilisez un langage simple, plutôt que des expressions que les consommateurs mexicains ne comprendront pas, la publicité devra être rédigée en espagnol et non seulement traduite de l'anglais ou du français, communiquez votre message avec l'aide d'images et moyens d'illustrations lorsque c'est utile. Le consommateur est un adepte des dégustations. Ainsi, il faut savoir promouvoir le produit en magasin. [...]
[...] Certaines de ces entreprises rencontrent un réel succès auprès des consommateurs mexicains. Les multinationales telles Mars ou encore Cadbury Schweppes acquièrent alors ces dernières dans le but d'augmenter sa part de marché et d'éliminer tout type de concurrence. Sur ce marché, des entreprises à fort potentiel de distribution et une part de marché élevée dans l'alimentation se sont aussi prises au jeu en créant leurs marques, en partenariat avec des fabricants locaux. On trouve, par exemple, le groupe Bimbo (pain de mie) avec plus de 5,9 milliards de dollars de vente nette en 2006, Sabritas (chips) ou encore le groupe Corvi (épicerie) qui, dorénavant possèdent des parts de marché dans le domaine de la confiserie. [...]
[...] Début 2008, l'inflation au Mexique est de en 2007). Les prix des confiseries au Mexique sont caractérisés par deux grands ensembles de prix dus le plus souvent à la qualité mais aussi au pays de provenance du produit. Concernant les produits européens, les prix sont relativement proches des prix appliqués en Europe. Les exportateurs et distributeurs s'occupent peu des revenus des mexicains et de l'économie du Mexique. Du fait d'une concurrence intense et d'un pouvoir d'achat limité sur les marchés de masse, les entreprises ont une faible marge pour fixer les prix. [...]
[...] Ceux-ci sont vendus au détail. Ces épiceries sont à la base du circuit de consommation et distribution puisque celles-ci font parties du quotidien mexicain. Secteur non structuré (vente dans la rue) Au Mexique, la vente dans la rue, ou le porte à porte est très fréquent Le secteur non structuré est formé par, d'une part les vendeurs de rue, et d'autre part les petits marchands des marchés. On distingue ainsi les tianguis (marchés) (photo et les ambulantes (vendeurs ambulants) (photos 1 et 3). [...]
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