Red Bull, Power rade, Burn, boissons, énergisantes, jeunes, alcool, caféine, donne des ailes, marketing, nuits, branchés
Tout à commencé en Thaïlande, où la consommation de boisson énergétique était déjà bien présente dans les moeurs. Dans la fin des années 70, un jeune entrepreneur Autrichien dénommé Dietrich Mateschitz s'aperçoit de l'engouement des travailleurs asiatiques pour ce sirop appelé "Krating Daeng" ("buffle rouge" en thaï), il se rend compte par lui même de l'efficacité de cette boisson car elle lui permet de mieux supporter le décalage horaire (...)
[...] Elle est actuellement en train de rattraper Dark Dog en France. La marque a aussi communiqué sur son aspect festif et limite légale. Burn tente de profiter de ses moyens marketings et de son pouvoir de négociation envers l'ensemble des distributeurs de boissons, tout en se détachant de l'image de marque de Coca-Cola et de son esprit familial. Un groupe important de l'agroalimentaire veut aussi s'imposer sur le marché. Pour concurrencer Red Bull, à l'instar de Coca-Cola, Danone a racheté «Energy Drink». [...]
[...] De plus voir des stars, que ce soit dans la musique ou dans le sport, avec leur canette de Red Bull à la main a amplifié cette envie. Red Bull a donc bénéficié d'une mystification grâce à des rumeurs autour de la dangerosité de la boisson et de ces effets lorsqu'elle est consommée avec de l'alcool. Red Bull c'est aussi une boisson tendance, le mélange avec de la vodka est la boisson à la mode dans le monde de la nuit. [...]
[...] Sur 12 milliards d'unités vendus par an dans le monde, Red bull en écoule environ 3 milliards. Red Bull détient 70% du marché global de l'Energy Drink avec un chiffre d'affaire de 3 milliards d'euro. En France la commercialisation de Red bull n'a pas été tout de suite autorisé en raison des taux de taurine et de caféines jugée trop élevé selon l'AFSSA. Malgré l'absence de leader sur le marché français jusqu'à aujourd'hui, le marché de la boisson énergisante croit de 50% par an, ce qui a laissé la place à de nombreux concurrents pour s'implanter. [...]
[...] En effet, les clubbeurs ont innové en mélangeant l'alcool à la Red Bull. La marque vend 34% de sa production à des bars, des discothèques et tous les lieux où les jeunes peuvent faire la fête. Il est quasiment impossible de segmenter les consommateurs de la marque au taureau en fonction de leur âge, de leur catégorie sociale Cependant, on peut dire que le consommateur «lambda» de Red Bull est dynamique, actif mais ne joue aucun rôle. Les jeunes gens qui aiment sortir sont plus friands de Red Bull: 53% des personnes buvant des boissons énergisantes sportives sont âgées de 14 à 43 ans des personnes consommant du Red Bull en achète pour étancher leur soif et se «booster» Red Bull a ainsi établi un marketing indifférencié auprès de sa cible: une seule boisson (sous deux déclinaisons) pour toute une communauté ! [...]
[...] Ces boissons sont destinées aux personnes désirant stimuler et énergiser le corps et l'esprit, et pas seulement aux sportifs. Toutes les marques comme Red Bull, Dark Dog ou encore Pure Rush appartiennent à cette catégorie. On doit la création de ce secteur à Red Bull en 1987. Il représente des ventes sur le marché des boissons énergisantes (soit près de 18 millions d'euros). La segmentation comportementale Red Bull a la volonté de s'implanter un peu partout dans le monde. Il est alors impossible de réaliser une segmentation géographique. [...]
Référence bibliographique
Source fiable, format APALecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture