Communication, produits financiers, marketing bancaire, banque, client, relation, Banque Populaire, Crédit Agricole, LCL, Société Générale, Crédit Mutuel, commercialisation, épargnant
La communication relative aux produits financiers, que ce soit par l'intermédiaire des supports des prestataires (documents commerciaux, information contractuelle et précontractuelle), des médias (documents publicitaires) ou des documents réglementaires, constitue une source d'information importante pour l'épargnant. C'est grâce à cette communication qu'il va prendre des décisions en matière de placements financiers.
La commercialisation des produits financiers et les nouvelles relations avec la clientèle sont des sujets en pleine prise avec l'actualité. Des affaires récentes de campagnes commerciales abusives entraînant des ventes inadaptées (comme celle des produits Bénéfic de La Poste) participent à une prise de conscience des carences en matière d'information sur les produits financiers.
Des enquêtes ont par ailleurs démontré récemment les lacunes du grand public en matière de communication financière, d'où une remise en cause des méthodes de commercialisation des produits d'épargne et en particulier de la communication. La communication relative aux produits financiers est soumise à un certain nombre de contraintes qui ne sont pas toujours respectées, c'est pourquoi, l'enjeu actuel est de protéger au mieux l'épargnant en l'informant de manière claire sur les produits pour qu'il puisse prendre une décision éclairée (...)
[...] Source : leséchos.fr L'Autorité des Marchés Financiers (AMF) est une autorité de tutelle ayant deux rôles : un rôle d'information (information complète et fiable pour les investisseurs, niveau de risque) et un rôle d'agrément/validation (intérêt financier du placement). Elle a pour mission de veiller à la protection de l'épargne investie en produits financiers et au bon fonctionnement des marchés. Enquête TNS Sofres commandée par l'AMF, Exploration des processus d'information et de gestion, et diagnostic des documents à destination des épargnants novembre 2006. [...]
[...] - Les pré-tests qui vérifient le fond et la forme d'une communication avant la réalisation finale (compréhension, aspects techniques, interprétations). - Les post-tests qui vérifient que la stratégie fonctionne en cours de projet et en fin de projet (analyse des résultats et de leurs causes). - Le sondage interne qui rend compte de l'opinion et de la perception du personnel pour la communication interne et externe. - Le baromètre d'image qui décrit l'évolution de la perception de l'image de l'entreprise (notoriété, identité, attractivité) La politique de communication des établissements financiers Traditionnellement, on distingue deux types de communication : - Tout d'abord, la communication externe destinée aux divers publics de l'entreprise (les clients, notamment les particuliers). [...]
[...] Le message doit être cohérent, efficace et doit s'inscrire dans la durée. Un message compréhensible, attractif et mémorisable est impératif dans une bonne campagne de communication. Le mix de communication Le mix de communication consiste à choisir des techniques, des supports et des actions de communication en assurant une relation coût/efficacité et avec la possibilité de favoriser les synergies et la complémentarité. Les techniques de communication globale : relations presse, publications, audiovisuel, Internet, publicité média, communication événementielle, relations publiques, identité visuelle. [...]
[...] Le ton de la communication Les modes de communication ayant évolué au fil du temps, le ton des messages se devait de changer également. Il subsiste encore un tabou concernant l'argent, le silence régnant sur l'argent et son fonctionnement témoigne encore de l'image négative associée à cette notion. Le problème qui se pose à la communication bancaire est que le message est la plupart du temps sans contenu et sans rapport réel avec la réalité. Les enseignes diffusent des messages peu signifiants et les promesses commerciales récurrentes sont banalisées. [...]
[...] Cette dimension donne des informations qui permettent de fidéliser le client : le client peut être un client flux (qui s'attache à la proximité du point de vente) ou un client trafic (qui s'oriente dans tel ou tel point de vente en fonction du bouche à oreille, de l'image de l'enseigne, des compétences spécifiques etc.). - L'acheteur correspond au client qui achète selon un processus d'achat particulier et certains comportements. Cette dimension donne des informations sur la perception des produits et offres sur le point de vente (achat spontané ou processus de décision plus long), données qui orientent l'organisation du point de vente (tâches du personnel, informations etc.). La prise en compte des attentes du client est depuis quelques temps primordiale pour les établissements financiers. [...]
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