Il est difficile de comprendre quel est ce web 2.0 dont tout le monde parle, tant les définitions semblent s'opposer. On voit bien qu'il s'agit d'un phénomène aux multiples dimensions. Certains insistent sur sa dimension technique, d'autres sur ses pratiques éditoriales, d'autres encore sur sa dimension sociologique.
D'un côté, il est vu comme le basculement des techniques vers des services, de l'autre il représente un nouveau réseau d'interaction sociale. Dans les deux cas pourtant, il replace l'utilisateur et ses relations avec les autres, plutôt qu'avec des contenus ou des machines, au centre de l'internet. Le web 2.0 serait donc résolument relationnel.
On est en mesure de se demander à qui s'adresse le Web 2.0? Aux ordinateurs ou bien aux utilisateurs auxquels il confère un pouvoir nouveau ?
Technologiquement, rien d'essentiel n'a changé sur l'internet depuis 10 ans. L'essence du “nouveau web” résiderait dans ce qu'en font aujourd'hui les gens. En somme, le web 2.0 serait le partage de l'information, fondé sur des bases de données ouvertes permettant à d'autres utilisateurs de les employer.
Nous allons tenter de comprendre ce phénomène nouveau qui prend de plus en plus d'ampleur en analysant dans un premier temps les caractéristiques du Web 2.0, son origine et ses attributs techniques, économiques et sociologiques. Puis nous analyserons quelques sites emblématiques du Web 2.0.
[...] Puis nous analyserons quelques sites emblématiques du Web Partie 1 : caractéristiques du web 2.0 Qu'est ce que le web 2.0 ? a. Définition Le web 2.0 désigne le nouveau modèle Internet qui façonne la manière actuelle dont nous travaillons et interagissons avec l'information provenant du web, il s'agit d'un ensemble d'approches qui permettent d'utiliser le net de façon nouvelle et innovante. Le Web 2.0 est défini par Wikipedia comme une transition importante du World Wide Web, passant d'une collection de sites Web à une plate-forme informatique à part entière, fournissant des applications Web aux utilisateurs. [...]
[...] Le risque est qu' à force d'interagir avec des machines on risque de prendre les êtres humains pour des machines. Il y a aussi le risque inverse qui est de prendre les machines pour des êtres humains et de s'attendre à un comportement intuitif, affectif et que la machine ne comprenne pas ce qu'on veut lui dire. L' Internet 2.0 risque également de faire apparaître une nouvelle fracture numérique entre ceux qui le maîtrisent et ceux qui le subissent : il y a une fracture numérique qui apparaît entre ceux que cette la technologie libère et ceux que la technologie aliène. [...]
[...] Cependant il apparaît que le Web 3.0 serait le Web du futur. La diversification des services Web ne cessant de s'accroître on peut déjà penser qu'une nouvelle ère est en préparation, celle ou Internet serait partout mais surtout étendue à d'autres domaines que celui du Web conventionnel. En reprenant l'exemple de la démarche que peut entreprendre un utilisateur pour acheter un objet on peut voire que l'expérience serait beaucoup plus immersive. Sources ( Sites Web - www.wikipédia.org - www.xul.fr - www.indexel.net - www.dznet.fr - www.scriptet.net - http://xmlizer.blogspot.com/ - http://xmlfr.org/actualites/decid/060303-0001 - http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=17294 O'Reilly Media (anciennement O'Reilly & Associates) est une société d'édition américaine, fondée par Tim O'Reilly et Dale Dougherty en 1978, et dont l'activité principale est la publication de livres concernant l'informatique. [...]
[...] Celui-ci retourne ensuite une nouvelle page correspondant aux informations reçues. Bien souvent, la page d'origine et la page de résultat sont très proches : les informations en commun sont dont envoyées deux fois. Une application web utilisant AJAX peut échanger des informations entre le client et le serveur afin de mettre à jour le contenu d'une page Web sans rafraîchir la page entière, grâce au navigateur. Les échanges avec le serveur se limitant aux informations nécessaires les applications gagnent donc en réactivité. [...]
[...] C'est la mixité des sphères sociales. Mais cette hyper sociabilité peut se traduire par une hyper visibilité : aujourd'hui nous sommes tous visibles notamment grâce à Internet. Nous sommes nombreux à avoir fait l'expérience de "googler" quelqu'un et même les gens qui ne sont pas des internautes actifs, ont quelque chose sur eux, ne serait-ce que parce qu'ils appartiennent à une association . Mais l'hyper sociabilité peut aussi modifier la relation entre l'individu et ses connaissances jusqu'à changer le rapport entre la vie publique et la vie privée : deux phénomènes l'expliquent. [...]
Référence bibliographique
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