Résumé et évaluation de rendement de l'entreprise Nestlé

Extraits

[...] Nestlé a eu un statut d'état solide sur le marché de la dette. Le rendement des obligations du géant agroalimentaire suisse est descendu à moins de zéro en 2015 pour ses rendements à 2 ans). C'est à dire, le débiteur est jugé de sorte qu'il vaut mieux s'acquitter de ses obligations que de ne pas agir face à la situation. Deux choses sont importantes à tirer de cette petite révolution. D'abord, le changement financier provoqué par l'injection des monnaies des banques centrales. [...]

[...] Entre 1990 et 2011, l'entreprise a connu sa croissance à l'international où les barrières commerciales se sont effondrées et les marchés mondiaux se sont développés. Le développement du groupe et ses filiales continuent entre les années 2012 et 2017 avec diverses acquisitions et partenariats où Nestlé à fêter ces 150 ans d'existence en 2016. Domaines d'activités Le groupe fait partie du secteur d'activité de l'industrie agroalimentaire. Il est aujourd'hui, le premier groupe alimentaire mondial spécialisé dans la Nutrition, Santé, et le Bien-être. [...]

[...] Il est donc difficile de dire qui est leur « concurrent ». À l'échelle mondiale, il s'agirait d'entreprises telles que Unilever, Kraft Foods, Danone, Procter & Gamble, Mars et Heinz. Rendement de l'entreprise Le rendement de l'entreprise Nestlé a évolué légèrement depuis 2014 pour atteindre les 3,15% en 2016. Nestlé estime réaliser un rendement de 2,83% en 2017, soit une baisse de 0,32. L'année 2018 connaitra selon les estimations une hausse du rendement qui continuera jusqu'en 2018 pour atteindre l'objectif de 3,25% d'ici 2019. [...]

[...] Le fait de rechercher de la sécurité va conduire à surpayer et aussi à accepter la perte. Signifiant aussi que les anticipations d'inflation à 2 ou 5 ans sont nulles. Deuxièmement, la stratégie à long terme de Nestlé est dédiée. À l'inverse des États solvables, le groupe n'a pas la possibilité d'emprunter en avance sur des opportunités fiscales. C'est ce qui est appliqué sur les bénéfices futurs n'excluant pas les paris industriels, qui assurent un rendement à long terme des capitaux propres de 15 à 20%. [...]