Les récentes avancées technologiques en IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) nous permette d'observer, de photographier le cerveau en 3D. L'IRMf (Imagerie par Résonance Magnétique Fonctionnelle), lui, permet d'enregistrer l'activité cérébrale au cours du temps.
C'est à partir de ces avancées scientifiques en neurologie qu'une nouvelle discipline a émergé et qu'on appelle « neuromarketing », nouvelle branche du marketing.
Plus que jamais, les spécialistes du marketing se tournent vers les neurosciences pour tenter d'obtenir des résultats toujours plus fructueux ainsi que des analyses approfondies du consommateur.
Selon Christian Poppe de Life & Brain : « Les scanners du cerveau sont plus objectifs que les méthodes de questionnement ».
L'éternelle question est de savoir comment faire acheter une marque plus qu'une autre en comprenant les mécanismes de décisions et la pensée de nos chers consommateurs.
Les neurosciences nous aident à mieux connaître le fonctionnement de notre cerveau ce qui peut aider un publicitaire à accroître l'efficacité de sa campagne dans le seul but d'activer le « Buybutton », qui bien sûr n'existe pas.
On sait maintenant que notre cerveau réagit plus fortement à des émotions positives. En effet, nos émotions sont directement liées et déterminent notre comportement. Ce qui sous-entend que la décision d'acte d'achat n'est en aucun cas un acte rationnel mais un acte tout à fait inconscient qui par conséquent nous échappe.
La vérité est que nous croyons être libres quand nous achetons mais en réalité nous sommes tributaires de certaines impulsions inconscientes que nous ne pouvons maîtriser.
[...] - Dans la tête du client, ce que les neurosciences disent au marketing Gerald Zaltman, 2004.éditions d'organisation. - Préparation des cerveaux : comment ça marche ? émission Arrêt sur images de TV5, 10/10/2004 - Neural Correlates of Behavioral Preference for Culturally Familiar Drinks Read Montague et Samuel McClure- www.hnl.bcm.tmc.edu, Octobre 2004. - Site web de BrightHouse NeurostrategiesTM Group - TF1, Coca-Cola et neuromarketing Edouard Lainet Libération août 2004 - www.management.journaldunet.com, La machine à trancher n'existe pas 09/02/2005. - Jusqu'où ira le neuromarketing ? »,Dorothée Benoît-Browaeys Figaro Economie /05/2005. - Think act Roland Berger, novembre 2005. [...]
[...] Regroupement de thématiques communes de domaines convergents. En clair, sortir des sentiers battus C. Controverses et manipulation psychologiques : Limites du neuromarketing D'un point de vue éthique tout dépend de là où l'on se place. Quand on regarde les choses naïvement, le neuromarketing permet d'acquérir une meilleure connaissance du système cérébral au cours d'un comportement de consommation. Alors, oui il est offert aux professionnels du marketing un pouvoir de manipulation du consommateur bien supérieur de manière à induire certains comportements. [...]
[...] Les marques : France monoprix, Nescafé, Quick, Kinder. Jeune Fille / Vierge : Caractéristiques : Désintéressé, Innocent, Pur Signification : Idealisme, Innocence. Les Demoiselles célèbres : Héloise, Mère Thérésa, Blanche Neige, Le petit chaperon rouge. Les marques : Ricoré, Dop, La Vosgienne, Milka, Miko, Gervais. Mère de la Terre : Caractéristiques : Bas de la Terre, Nourriture, écurie. Signification : Abondance, appartenance, maternité. Célébrités : Demeter, Isis, Eve, Marie, mother goose, mère courage Marques : Michelin, Carrefour, Renault, Signal, Darty. [...]
[...] Un peu plus tard, les théories psychanalytiques font naître une autre conception de la publicité. Elles partent du principe que les consommateurs ne sont pas conscients des réelles raisons qui gouvernent leurs choix puisque celles-ci sont à rechercher dans le ça réservoir des pulsions profondes de l‘individu. Il s'agit alors pour les publicitaires d'identifier puis de flatter, dans les messages, ces désirs profonds. Comme ces derniers sont souvent censurés par le surmoi l'instance d'interdiction du psychisme, il faut en outre que la publicité donne des arguments permettant à l'individu de rationaliser ces choix, c'est-à-dire de les justifier de manière socialement acceptable. [...]
[...] - Le cerveau limbique (dit viscéral) est le siège de l'affectivité et de l'apprentissage. Il a en quelque sorte le rôle de filtre, sorte de deuxième sélection avant d'envoyer l'information au cortex cérébral. L'impact que notre humeur peut avoir sur l'appréhension des choses vient de lui ainsi que nos idées préconçues, nos a priori et nos habitudes. La sympathie ou non que l'on éprouve pour quelqu'un, d'une idée ou d'un discours vient de là, d'où l'expression très souvent entendue Je n'aime pas cette personne, je ne sais pas pourquoi c'est viscéral - Le cortex cérébral (dit supérieur) est le siège de facultés intellectuelles, spirituelles, artistiques. [...]
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