Neuromarketing, publicité, neuroanatomie, multisensorialié, neuroendocrinologie, neuro-imagerie, préférence de la marque, m130morisation, impact d'un message publicitaire, messages subliminaux
Selon cette théorie le néocortex « pense », le système limbique « ressent » et le cerveau reptilien prend la décision d'agir ou non.
Au niveau d'une application comportementale dans le marketing, l'impact sur le sujet est primordial, c'est pourquoi le cerveau archaïque est au centre de nombreuses recherches. Ce cerveau primitif correspond d'un point de vue neuroanatomique au tronc cérébral ; il est alors spécifiquement visuel étant directement connecté au nerf optique. Il réagit à des stimuli tels que des contrastes visuels ou sonores ; ce cerveau est attentif à ce qui est différent, se concentrant uniquement sur le début et la fin du message ; il est aussi sensible aux émotions extrêmes qu'elles soient positives ou négatives.
[...] Applications des méthodes neuroscientifiques au marketing Le marketing permet d'effectuer des études de marchés en fonction des besoins des consommateurs, en vue de favoriser la commercialisation de produits. Le moyen principal afin d'obtenir les différentes demandes des consommateurs est d'identifier leurs préférences par rapport à des marques ou produits en leur proposant de remplir des questionnaires. Des études visant à tester l'impact d'un produit sur une personne sont choses courantes, mais la où le neuromarketing innove, c'est en explorant le cerveau, et en observant les réactions face au produit. [...]
[...] Page L'accroissement de la préférence de la marque . Page 11 La mémorisation d'une annonce publicitaire . Page 13 La maximisation de l'impact d'un message publicitaire . Page 17 Les messages subliminaux . Page 18 III. LE NEUROMARKETING EST-IL L'AVENIR DE LA PUBLICITE ? . Page L'approbation des Etats Unis . Page 20 L'approbation de la France et de l'Union Européenne . [...]
[...] L'odorat ou l'olfaction sont dès lors réalisés. Le sens du toucher est dû à la présence de nombreux récepteurs et corpuscules situés sous la peau. Chacun d'entre eux a une tâche particulière et répond à la chaleur, au froid, à la pression ou à la douleur. L'épiderme contient un réseau de terminaisons nerveuses libres, chargées de transformer les informations recueillies par les récepteurs sensoriels en influx nerveux électriques. Les fibres nerveuses qui véhiculent ces informations rejoignent la moelle épinière, qui les transmet au cerveau, qui se charge de les analyser et de les comprendre. [...]
[...] Grâce aux sections précédentes, on observe que le neuromarketing est constitué de deux phases représentant l'ambition scientifique du marketing. La première correspond à l'approche neuroscientifique. Il faut admettre le fait que d'observer la réaction du cerveau humain à des stimuli n'influence en rien l'objectivité de décision du sujet testé. La seconde phase est l'application de ces techniques neuroscientifiques à des fins neuroéconomiques. En effet, les résultats obtenus lors des tests permettent de savoir quels sont les stimulis ayant un impact sur les sujets. [...]
[...] Big companies like L'Oréal, CocaCola, Levis Strauss or Daimler-Chrysler has already used neuromarketing in that aim. Neuromarketing distinguishes itself from marketing in the way that it is a method of qualitative measurement more precise than a simple market research: instead of asking the consumers' judgments about a product, we study their reaction to the product directly in their brain. The researches in the consumer's behavior don't only follow the way of the neuro-imagery's technologies, that will be presented, but also the new developed technologies that we will introduce in this paper. [...]
Référence bibliographique
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